Pocket- Acheter notre livre d'occasion pas cher "Le nouveau rapport de la CIA - Comment sera le monde de demain ?" Alexandre Adler - Livraison gratuite dès 20€ - " Avec une crise financière sans précédent, au moins depuis 1929, Accueil > Alexandre Adler Ecrivain, historien, journaliste, spécialiste des relations internationales, Alexandre Adler est l'une des voix marquantes de notre temps. Il est l'auteur de plusieurs livres qui ont été traduits dans le monde entier. Une affaire de famille d' Alexandre Adler 136 pages - avril 2014 16,50€ JE COMMANDE Quand le Tibet s'éveillera d' Alexandre Adler 200 pages - févr. 2020 19,00€ JE COMMANDE Placards & Libelles 5 - Le basculement des empires ou le monde comme il ne va plus d' Alexandre Adler 16 pages - déc. 2021 2,50€ JE COMMANDE Jesouhaite de bonnes relations entre le Maroc et Israël [Interview avec Alexandre Adler]. Hier lundi 23 juillet, s’est tenue à Casablanca la 2ème édition de la Conférence économique organisée par le groupe Attijariwafa Bank sur le thème «Évolutions de l’économie Passez votre été dans le futur. Quelques livres pour vous y conduire en bonne compagnie 2020 les scénarios du futur Comprendre le monde qui vient ». Edition Fayard Joël de Rosnay, Roland Schaer Les années 2020 verront la naissance de nouveaux ingénieurs et architectes de l’infiniment petit. Ils sauront marier les technologies biologiques, informatiques nano et écotechnologiques pour inventer les produits de demain. Ces progrès scientifiques ouvriront de nouveaux horizons riches de promesses, mais aussi lourdes de menaces pour l’homme. Les technologies de la communication vont connaître une progression explosive entre 2010 et 2020, bouleversant nos vies comme l’économie et faisant apparaître de nouveaux dangers atteinte à la vie privée, piratages, virus, infopollution »… La prolongation de la durée de vie, grâce à une connaissance accrue des mécanismes du vieillissement, suscitera de fortes tensions sociales et politiques. Enfin, écologie et économie, qui devraient être les deux faces d’une même médaille, se trouveront confrontés plus durement à leurs contradictions. Les sciences de la complexité peuvent nous aider à penser le futur des sociétés humaines. Au-delà de l’approche analytique traditionnelle, elles permettront de construire notre avenir sur la base d’une vision globale et à long terme de l’évolution des systèmes complexes économiques, écologiques, industriels et politiques dont nous faisons partie. A l’homme de savoir fixer les limites pour éviter que ses créatures biologiques ou électroniques ne se retournent contre lui. Vivre en 2028. Notre futur en 50 mots clefs. Editions Lignes de repères Yan de Kerorguen, Estelle Leroy. Le futur sera ce que nous en ferons ! Refusant le pessimisme et la résignation, intéressons nous à ce qui se prépare dans tous les laboratoires des grandes entreprises innovantes ! L’idée principale du livre est de projeter 50 actions de notre vie dans 20 ans, en 2028. En consacrant une fiche à chaque action, l’ouvrage se projette dans notre futur, qui dépend des technologies génétique, nano, télécoms,… mais aussi de facteurs économiques mondialisation, écologiques réchauffement climatique, voire géopolitiques. Mais aussi de nos comportements individuels. Un parcours original à la découverte de l’avenir que nous fabriquons chaque jour. 2030 Le krach écologique. Editions Grasset Geneviève Férone. Le krach écologique aura lieu en 2030 ! Le front climatique, le front énergétique, le front de la croissance et le front démographique vont se télescoper exactement à la même date. Le changement climatique est une dérive sans retour. Qui en est le premier responsable ? Notre consommation d’énergies fossiles, dont le pétrole, qui provoque l’émission de gaz à effet de serre. Geneviève Ferone pose dans cet essai clair et tranché une série de questions économiquement incorrectes. Comment nous orienter au plus vite vers des énergies propres et renouvelables ? Aurons-nous le temps de les financer et les développer à une échelle industrielle pour couvrir les besoins en énergie de 7 milliards de personnes en 2030 ? Faut-il généraliser la taxe carbone? Comment faire basculer des géants économiques tels que l’Inde et la Chine, dont les intérêts sont divergents des nôtres, vers une nouvelle gouvernance ? Faut-il attendre une quelconque aide de la décroissance ? La foi dans le progrès technologique nous sauvera-t-elle ? Futur Comprendre les 20 prochaines années . FYP éditions Maxence Layet, Frédéric Kaplan, Philippe Bultez Adams . Comment vivrons-nous dans 20 ans ? Unique en son genre, ce beau livre illustré, accessible à tous, est le compagnon idéal des rêveurs de futur, de ceux qui souhaitent le comprendre pour mieux le construire. Sous forme d’une pédagogie du futur et grâce à un contenu riche de sens, Futur sensibilise le lecteur à tout ce qui pourrait changer son quotidien dans les deux prochaines décennies. Comment les mutations technologiques amorcées vont-elles influer sur notre façon de se déplacer, travailler, se soigner, se cultiver, jouer, se nourrir, agir dans notre environnement, seul et avec les autres ? Chercheurs, philosophes, sociologues ou encore artistes exposent de façon claire et précise les enjeux socioculturels, économiques et écologiques de notre futur. Ils imaginent et racontent leur vision du monde de demain en soulevant un coin du rideau sur les défis et la créativité qui permettront à chacun de nous de construire notre avenir. Depuis 20 ans, le Futuroscope prône la pédagogie douce en faisant des désirs d’avenir et des envies de renouvellement de soi son territoire. Mêlant fiction, sciences et technologies avancées, cet ouvrage collectif et optimiste est une invitation à inventer, à ouvrir notre esprit, à diversifier nos connaissances, pour s’interroger ensemble sur les 20 prochaines années, tenter d’en dessiner les contours et réenchanter le futur. Nos 20 prochaines années 2010-2030, le futur décrypté. Editeur l’Archipel Christian Gatard De quoi aurons nous envie en 2010, comment voyagerons-nous en 2020, avec quoi nous habillerons-nous en 2030 ? Comment nous soignerons-nous, travaillerons-nous, aimerons-nous ? Quels citoyens, quels parents serons-nous ? Qui seront nos dieux ? Quels seront nos mythes ? Où en seront nos loisirs ? Manger deviendra-t-il un acte de rébellion, rire une affirmation politique et dormir une activité scientifique ? L’avenir, avec son flot de paradoxes et de surprises, nous guette. Prévoir le probable ? Insuffisant ! Le XXIe sera baroque et déroutant. Voici un livre qui se risque dans la jungle des possibles. Il étudie les nouveaux » paradigmes , il scrute au-delà des tendances immédiates, il cerne les nouveaux rituels. Contes et légendes, ragots et rumeurs, faits et méfaits, promesses et espoirs, désirs et fantasmes du monde de demain sont au bout de cette exploration. Aventurier de l’éventuel, adepte de la » pensée buissonnière , Christian Gatard a écouté citoyens et consommateurs, interrogé observateurs et acteurs socioculturels. Son essai prospectif, documenté et ludique, présente d’étonnants scénarios de vie. Fabriquer le futur 2 L’imaginaire au service de l’innovation . Editions Village Mondial Pierre Musso, Laurent Ponthou, Éric Seulliet Comment inventer de nouveaux produits et services que les consommateurs adopteront durablement ? La conception traditionnelle de l’innovation, principalement fondée sur les développements technologiques, a montré ses limites. Face à ce constat, les auteurs proposent d’intégrer à la stratégie d’innovation la dimension de l’imaginaire. En effet, explorer l’imaginaire du consommateur, va permettre de mieux répondre à ses aspirations et d’introduire de nouveaux profils. Aux côtés des ingénieurs et techniciens, on trouvera des co-acteurs en provenance des univers les plus variés. Qu’ils soient utilisateurs, médias, membres d’autres services de l’entreprise ou prestataires, voire concurrents, tous seront impliqués, l’innovation quittant le laboratoire de R & D pour devenir un phénomène transversal et pluridisciplinaire. Pour certaines entreprises, ce phénomène est déjà réalité. Ainsi, IBM reconstitue les environnements professionnels de ses clients pour anticiper avec eux l’avenir, Décathlon introduit des équipes pluridisciplinaires sur les lieux de vente pour être plus proche de ses clients, Dassault Systèmes utilise la simulation virtuelle pour inventer les produits de demain. Cette nouvelle édition entièrement revue et augmentée introduit des notions émergentes comme l’éco-conception, l’innovation ascendante, la révolution numérique 3D, la prospective appliquée, l’innovation en mode projet,… et s’appuie sur une centaine d’interviews et témoignages. Le nouveau rapport de la CIA Comment sera le monde en 2025 ? Editions Robert Laffont Alexandre Adler Terrorisme en retrait, glissement du pouvoir économique de l’Occident à l’Orient, pénurie d’eau, déclin des ressources en hydrocarbures, nouvelles technologies. Dans la lignée du précédent Rapport de la CIA Robert Laffont, 2005, un document inédit réunissant plusieurs hypothèses qui ne manqueront pas de faire parler, et dans lequel, surtout, pour la première fois, les Américains reconnaissent qu’ils ne seront plus les maîtres du monde ! Dans sa présentation, Alexandre Adler explore, en lever de rideau, les plus grands dangers géopolitiques actuels et suggère quelques moyens de les prévenir, pendant qu’il en est encore temps. Vivement 2050 ! Comment nous vivrons peut-être demain ? Editions L’Harmattan Michel Wautelet Dans notre société occidentale et développée, la vie quotidienne dépend d’un facteur important le pétrole abondant et bon marché. Vers 2050, le pétrole et le gaz naturel seront en voie d’épuisement. Cet ouvrage décrit ce que sera la vie dans nos sociétés occidentales à l’ère de l’après-pétrole. Après avoir discuté du contexte énergétique de 2050, ainsi que du développement de quelques technologies futures, cet ouvrage présente l’évolution des transports des personnes et des marchandises. Les conséquences sur la vie quotidienne, l’industrie, le commerce, voire la globalisation, sont examinées. L’ère de l’après-pétrole sera différente de l’ère actuelle, tant localement qu’au niveau international. La transition vers cette nouvelle société risque d’être difficile. Les défis à relever pour arriver le plus harmonieusement possible à la société de l’après-pétrole sont présentés. Aujourd’hui, nous sommes dans une société instable, qui ne peut continuer sans compromettre le futur. La société de l’an 2050 ne sera pas telle que rêvée il y a quelques décennies. Le futur sera ce que nous en ferons. Cet ouvrage se veut un appel à la réflexion et à l’action, pour que nous prenions dès aujourd’hui les bonnes décisions.
Le30 mars 2022 à 05h53. Au 35e jour de la guerre en Ukraine, alors que la Russie a promis de réduire son offensive autour de Kiev et que les pourparlers avancent « significativement », le
ccueil>Société J’ai connu Alexandre Adler du temps où il était membre du PCF et où nous intellectuels étions fréquemment appelés à nous rencontrer à la Nouvelle critique il m’arrive de relire certains numéros et je suis stupéfaite de la richesse culturelle des contributions, Révolutio, dont j’étais rédactrice en chef-adjointe. Cela donnait souvent lieu à des joutes et Alexandre avec son brio, son goût du paradoxe était toujours celui qui surprenait pour le meilleur et le pire. Il est allé vers d’autres rivages, mais il est aussi selon moi resté “un stalinien” là aussi pour le pire et pas toujours pour le meilleur. Comme ici dans cet étonnant rapprochement entre la France de la deuxième guerre mondiale où il y aurait eu des “braves gens” agissant de manière spontanée, bref! selon lui il y aurait eu un général de Gaulle mais pas de PCF, dont il ne dit pas mot, pas plus que du programme du CNR et la manière dont il redresse la France, crée les trente glorieuses. Bref tout ça dépend des “braves” types. Ce qui lui permet par une pirouette dont il a le secret de faire les louanges de Macron qui ne se débrouille pas si mal… Le paradoxe chez Adler a souvent pour fonction de masquer les lacunes du raisonnement, de permettre d’audacieuses analogies mal fondées. Mais pour rester sur l’objet -titre de son interview, j’avais également suivi ses commentaires sur le rapport de la CIA et je confirme son propos. Des prémonitions de la CIA à leur mise en œuvre sous Trump, il n’y a qu’un pas que je ne franchirai pas faute de preuves. On sait en effet que le terme corona est un terme générique pour un type de virus mais vu les preuves que nos médias apportent sur la Chine, celle de l’inscription dans un rapport de la CIA pèse d’un poids nettement plus lourd note de Danielle Bleitrach pour histoire et société. Public Sénat vous propose le regard, l’analyse, la mise en perspective de grands experts sur une crise déjà entrée dans l’Histoire. Aujourd’hui, le regard de… Alexandre Adler, journaliste, historien, spécialiste des questions de géopolitique. LE 24 MAR 2020 Par Rebecca Fitoussi 5mn En 2005, Alexandre Adler préfaçait pour les éditions Robert Laffont Le nouveau rapport de la CIA – Comment sera le monde demain », résultat de deux ans de travail de plusieurs dizaines d’experts évaluant la situation de la planète sur les quinze années à venir 2005-2020. Cette crise du Covid-19, les experts l’avaient prédite avec une précision saisissante. Alexandre Adler revient sur ce rapport et se projette dans l’après-crise. Selon lui, cette épidémie sera un tournant pour l’avenir du monde et annonce de profondes transformations. Pourriez-vous d’abord nous recontextualiser la publication de ce rapport qui annonçait une épidémie mondiale et la façon dont vous avez été amené à le commenter ? Oui, je dois quelques explications à nos lecteurs sur ce rapport de la CIA qui me donne un peu le statut de prophète. [rires] Je rappelle d’abord que les rapports de la CIA étaient réguliers, ils avaient l’habitude d’y évoquer la situation géopolitique avec des questions comme La Russie va-t-elle rester dans une semi-démocratie ou va-t-elle connaître un épisode autoritaire ? Ou d’autres questions comme la Chine représente-t-elle une menace ?». Des questions pour lesquelles j’avais une certaine compétence. Les éditions Robert Laffont me demandaient alors d’écrire des introductions où je prenais position sur ce que racontait la CIA. Cela intéressait beaucoup de monde, c’était une idée très intelligente de la CIA. Au lieu d’envoyer ce genre de rapport à quelques personnalités triées sur le volet, l’idée était de s’adresser à l’opinion publique et de la prendre à témoin, de se mettre au service du public. Que prédisait ce rapport ? Quel était le scenario ? Je l’avais moi-même oublié, mais le terme corona » apparaît dans ce texte écrit dès 2005. Corona » est un terme codé qui était utilisé par les épidémiologistes en Amérique pour nommer ce qu’ils considéraient comme la pandémie ultime. De pandémie en pandémie, nous allions avoir une pandémie qui allait véritablement s’étendre à la Terre entière. Pourquoi ? Et bien parce que la mondialisation avait atteint un stade très avancé. La CIA mettait en garde, et j’étais plutôt d’accord. J’étais assez critique, non pas de la mondialisation que je considérais comme un phénomène inévitable et qui comporte de nombreux éléments très positifs, mais elle avait aussi des éléments négatifs. Par exemple, et c’était ce à quoi la CIA était déjà sensible, le fait que les Etats-Unis, pour des raisons de coûts de court terme, s’étaient complètement mis à la disposition de la Chine qui fabriquait pratiquement tous les produits pharmaceutiques dont l’Amérique avait besoin. Le pays avait quasiment tiré un trait sur son industrie pharmaceutique, qu’il faisait faire à l’étranger. La CIA disait dans ce rapport que ce n’était pas très sage. Dans mes commentaires à l’époque, j’abondais dans ce sens parce que je savais que la France avait la tentation de le faire aussi. Elle l’a d’ailleurs fait malheureusement. Il fallait maintenir un certain nombre de productions stratégiques et de stocks nécessaires sur place. Dans ce rapport, les précisions sur le virus, sur son mode de propagation, sont saisissantes… apparition d’une nouvelle maladie respiratoire humaine virulente, extrêmement contagieuse », voyageurs présentant peu ou pas de symptômes » qui pourraient transporter le virus sur les autres continents ». Comment cela a-t-il été possible ? Parce que c’était déjà arrivé. Cela nous ramène aux livres de Tom Clancy qui lui aussi écrivait à partir de l’expertise de la CIA. Il racontait de manière effrayante une épidémie d’Ebola. Et effectivement, à l’époque, Ebola n’était pas du tout maîtrisé. Entre temps, les Instituts Pasteur et leurs équivalents ont trouvé le vaccin pour Ebola, ce qui est presque un miracle. Nous n’avons plus d’Ebola, mais nous avons cette maladie qui est à la fois effrayante parce que nous n’avons pas encore trouvé le vaccin mais beaucoup moins dangereuse du point de vue de la mortalité. Au moment de la sortie de ce rapport, quelles ont été les réactions internationales ? A-t-il été pris au sérieux par les autorités des différents pays ? Il n’y a eu aucune réaction ! Aucune ! Parce que c’était un rapport parmi d’autres. Et certainement pas en France. On n’a rien fait de particulier et c’est vrai de tous les pays européens. C’était chacun pour soi et tout le monde était tout à fait insouciant. Il y avait un sentiment, comme toujours quand on avance, où on pense que cela n’arrive qu’aux autres. Dans ce rapport, la suite envisagée fait froid dans le dos. Il évoque de nouveaux cas de coronavirus qui apparaitraient par vague, très régulièrement et qui finiraient par tuer des millions de personnes… Quel crédit peut-on accorder à cette théorie ? Je pense que la CIA a voulu provoquer un choc émotionnel à ses lecteurs. Leur disant, si vous ne faites rien, ces drames viendront et ne viendront pas une fois mais à plusieurs reprises. C’est parfaitement possible, sauf que maintenant que nous avons connu cette période de pandémie mondiale avec la première conjoncture mondiale qui affecte la totalité de la Terre, cela peut changer la donne. C’est quand même renversant de penser que nous sommes tous, au même moment, au même endroit, arrêtés. Et là je pense aux mots de mon maître Louis Althusser ndlr philosophe qui avait lu cela chez Hegel, le philosophe allemand l’humanité avance toujours, mais toujours par sa négativité. » C’est-à-dire que c’est toujours par un phénomène négatif que des phénomènes par ailleurs massivement positifs arrivent, comme le fait que l’humanité est Une et que maintenant nous sommes tous dans le même bateau. Et bien pour y arriver, nous sommes passés par cette pandémie. Comment trouvez-vous l’organisation du monde face à cette crise ? De nombreux Etats ont fermé leurs frontières… Les économies se referment sur elles-mêmes… L’heure est-elle au repli ? Cette crise sonne-t-elle le glas de la mondialisation ? Pas du tout ! Les gens voient à quel point le repli, indispensable en ce moment pour prévenir l’épidémie, est grave pour les sociétés et pour les économies. Les gens sont certes préservés des pires fléaux, mais ils sont pauvres ! Ils sont appauvris comme nous le sommes aujourd’hui dans toute l’économie française par ces mesures de containment » ndlr endiguement qui sont nécessaires. Toutes les entreprises qui font faillite ou toutes celles qui ont des dettes épouvantables, le voient bien aujourd’hui. Donc on comprend comment le protectionnisme, les circuits courts, etc… Ce sont surtout les cerveaux courts, les circuits courts ! Toute la classe politique française, jusqu’au plus haut niveau de l’Etat, nous annonce un Après… Différent sur le plan idéologique, économique, social… Vous croyez à une révolution ? Un tournant ? Cela vous semble-t-il possible ? Oui je le crois. Nous sommes sur une pente ascendante. Je le sens. Pendant la guerre, on a vu tant de Français et de braves gens qui sans mot d’ordre d’organisations de résistance, encore à peine développées, ont eu les bons gestes. Cacher des juifs, cacher des résistants, cacher le ravitaillement que les Allemands pillaient de façon éhontée… Tout cela, ce sont des gestes de survie de la société qui ont fait une autre société en 1945. Nous avons eu une société beaucoup plus fraternelle et beaucoup plus courageuse dans laquelle des gens jeunes ont remplacé des gens trop âgés et qui ont insufflé ce qu’on a appelé Les Trente Glorieuses ». Ce genre de phénomène, nous l’avons déjà connu. Et dramatiquement, puisqu’il s’agissait là d’une tragédie sans précédent. Vous imaginez le choc qu’a été 1940, pour une France qui se pensait encore comme une grande puissance mondiale. Et du jour au lendemain, cette chute ! Puis cette remontée avec le Général de Gaulle. Il n’y a pas de De Gaulle en France aujourd’hui même si je trouve que notre Président Macron se débrouille avec beaucoup de courage et beaucoup de sang-froid dans une situation très difficile. Et d’ailleurs les sondages le prouvent. Les Français se disent heureusement qu’il est là quand même ! ». Un certain nombre de querelles sont en train de s’éteindre et elles ne reviendront plus. Cette période de profonde amertume que vous voyez à travers le monde est en train d’être dépassée. Quelles pourraient être les conséquences de cette crise mondiale sur le plan politique et géopolitique ? Imaginez-vous une montée en puissance de leaders populistes ? D’Etats totalitaires ? Vers qui, vers quoi les peuples auront-ils envie de se tourner ? Ils vont se tourner vers des hommes politiques rationnels qui n’ont pas raconté n’importe quoi, qui n’ont pas sombré dans l’hystérie, qui ne sont pas roulés par terre devant le public. Ils vont se tourner vers des hommes politiques, qui tout en étant des gens raisonnables, sont aussi des gens qui savent faire preuve d’autorité. L’autorité, ce n’est pas la dictature et c’est exactement ce qu’on souhaite aujourd’hui. On a bien vu aux Etats-Unis comment Franklin Roosevelt – dont les réactions n’étaient pas toutes très bonnes et qui n’était pas un homme exemplaire – a maintenu les Etats-Unis dans une démocratie où les élections se sont tenues, où la liberté d’expression n’était pas étouffée alors qu’il a mené la guerre la plus importante de toute l’histoire américaine et qu’il l’a gagnée. Cet exemple qui est aussi celui de Winston Churchill en Grande-Bretagne, c’est la preuve que les démocraties sont capables dans des circonstances exceptionnelles de faire les sacrifices et de manifester une certaine forme d’autorité sans sacrifier les libertés fondamentales. Nous sommes dans un monde pluraliste, un monde qui n’est pas encore unifié par une démocratie unique et généralisée, mais qui va dans le bon sens, c’est évident ! Vous ne voyez pas dans cette crise du Covd-19 un risque de déstabilisation géopolitique et celui d’une multiplication de conflits armés ? Non, au contraire, je vois l’inverse. Je vois par exemple que devant la difficulté que traverse le Moyen-Orient, nous avons une coopération, évidemment forcée et évidemment grommeleuse, mais qui naît aujourd’hui les Israéliens et les Palestiniens par exemple, parce qu’ils sont exactement dans le même bateau, que la maladie est la même. Il y a autant d’Israéliens qui voyagent aux Etats-Unis ou en Inde ou ailleurs qu’il y a de Palestiniens qui sont en contact avec des Libanais, et avec des Syriens ou des Iraniens, mais le résultat est le même, la maladie est dans tout Israël, et Israël est dans le confinement comme tout le monde, et ils sont en train de trouver une voie d’union nationale et un compromis. A la lueur de ce que vous savez, de ce que vous observez, et pour terminer cette interview comme on l’a commencée, c’est-à-dire sur de la prospective comment imaginez-vous le monde en 2040 ? Je pense que d’ici 2040, nous allons vers des transformations énormes. Hitler qui était très superstitieux croyait au Reich de mille ans, parce qu’un certain nombre de voyants lui avaient dit qu’après cette grande épreuve qu’est la guerre, il mènerait un monde millénaire et ce serait la grande époque de l’Allemagne. En fait l’Allemagne a explosé à la suite de ses folies et nous n’avons pas eu ce monde millénaire. Mais en même temps, ce qui est vrai, c’est qu’au lendemain de ces épreuves terribles auxquelles nous sommes confrontées, se préparait quelque chose d’autre. Et ce quelque chose d’autre » est là maintenant. Nous sommes dans un monde qui va se libérer des hydrocarbures, qui va trouver des moyens de produire beaucoup plus proprement, qui a compris que la nature ne nous appartient pas… Bref ! Nous sommes dans un monde qui est en train de prendre connaissance d’un certain nombre de nos folies et notre grande folie, on la connaît depuis toujours, c’est la folie Prométhéenne celle qui a donné le feu aux Hommes, c’est bien ! Même de nous donner l’atome, c’était pas mal ! Mais avec des dangers très grands ! Ces dangers, nous en sommes enfin conscients, c’est cela qui se passe à l’échelle mondiale. Publié le 24/03/2020 à 0912 – Mis à jour le 24/03/2020 à 0912Crédits photo principale JEAN-PIERRE MULLER / AFPPartager En2005, Alexandre Adler préfaçait pour les éditions Robert Laffont « Le nouveau rapport de la CIA – Comment sera le monde demain », résultat de deux ans de travail de plusieurs dizaines d’experts évaluant la situation de la planète sur les quinze années à venir (2005-2020). Cette crise du Covid-19, les experts l’avaient
Pour ses 100 ans d’existence, l’Union Des Annonceurs UDA dresse le bilan concernant les tendances de la communication de demain. De ce fait, elle a fait appel à Kantar Media pour mener une étude auprès de 280 annonceurs français. Les nouvelles tendances de la communication se résument en trois grands concepts communication digitale, personnalisée et humaine. Les chiffres clés de la communication de demain Placer le client au centre de la stratégie de communication D’après l’enquête susmentionnée, 48 % des personnes interrogées affirment que l’écoute et la compréhension des consommateurs constituent le principal apport de l’humain en termes de marketing. S’adapter aux nouveaux usages des clients L’entreprise de demain devrait rediriger son investissement vers ses propres outils de communication. Pourtant, 27 % des annonceurs seulement envisagent de mettre en place des campagnes 100 % mobile dans les 12 prochains mois. Miser sur les réseaux sociaux 66 % des personnes interrogées affirment que les réseaux sociaux constituent le canal privilégié des entreprises pour communiquer. Seulement 12 % d’entre eux sont prêts à consacrer plus de 20 % de leur budget aux nouveaux moyens de communication tels que les réseaux sociaux, les applications mobiles, les messageries. Tandis que 37 % choisissent les plateformes vidéo et 34 % optent pour les applications mobiles. De la technologie à la relation humaine Quand les entreprises hésitent entre performances technologiques et relation humaine, 35 % d’entre elles optent pour la relation humaine, contre 16 % pour la technologie. De même, 52 % des décideurs préfèrent la communication personnalisée avec leurs collègues, contre 11 % pour une communication automatisée. Organiser le travail La moitié des décideurs optent pour un système de management privilégiant le travail en mode projet en interne. Dans un premier temps 39% d'entre eux affirment qu'il faut optimiser la communication de demain. Le but sera d'intégrer des compétences externes comme nous pouvons le voir aujourd'hui à travers le digital. Pour 33% d'entre eux, le développement de l’entreprenariat sera primordial pour générer de nouvelles ressources. Enfin 26% des décideurs, pensent que la collaboration avec un réseaux externe sera le moteur d'une nouvelle organisation du travail. Opter pour la Smart data Comme le définit le blog le smart data est la nouvelle approche du traitement des donnés. Il se sert des nombreuses données issues du Big Data pour en dégager les informations les plus pertinentes. Suite à l'enquête menée par l'UDA, 30% des sondées ont répondu que l'avenir du marketing tirera sa force de la data. Pour 20% d'entre-eux la communication de demain passera par l'innovation stratégique et le fait de se démarquer de la concurrence. Malgré ces envies, la génération de data restera primordiale. Ce seront la masse de ces données qui permettront à la smart data d'être la plus utile et la plus efficace. Toutefois, plus de la moitié des décideurs 51 % s’accordent à dire qu'ils opteront pour cette nouvelle approche plutôt que de faire du Big Data. Ce qu’il faut retenir Parmi les tendances émergentent de cette enquête, on constate l’adaptation de la communication aux nouveaux canaux utilisés par les consommateurs. Parmi les canaux les plus privilégiés, il y a les réseaux sociaux, les vidéos et le mobile. Autre constat important émanant de cette étude, c’est l’avènement du customer centric ». Il s'agit de baser sa stratégie sur l’écoute et la compréhension du client. Avec l'ensemble des données que vous possédez sur vos clients il sera possible de cibler précisément les attentes de celui-ci. Cela passera par l'individualisation de la communication qui privilégie l'humain avant la technologie. Enfin, l'étude révèle la prédominance de la data, tout en démontrant l'impact de la smart data sur l'avenir et les actions de communication. Et vous, comment voyez-vous la communication de demain ? Si cet article vous a plu, consultez notre page dédiée à la génération de leads ou à consulter d’autres articles sur ce thème. Vous souhaitez être accompagnés dans votre démarche d’amélioration pour l’augmentation de vos leads ? Nous vous invitons à contacter nos équipes pour plus d’informations.
SelonAlexandre Adler, les violences en banlieue ne s’expliquent pas seulement par des problèmes sociaux, mais il existe selon lui « une conception du territoire propre à l’Islam » : « Il y a l’idée dans la doctrine musulmane la plus traditionnelle qu’il existe une terre de l’islam. Là où l’Islam s’est répandu, là où les peuples l’ont accepté cette terre est
L’Homme du 11 Septembre 2001 appartenant au Deep State, avait informé le peuple Américain sur la préparation à une éventuelle pandémie en 2005 !!! Dommage qu’il n’ai pas jugé utile d’informer son peuple d’ une éventuelle Attaque de l’Amérique » à venir. Relation Deep State Américain/CIA/ avec la Chine. Chez nous, nous avons également un historien Visionnaire de la CIA Deep State ! Un visionnaire qui reprend les directives pandémiques » de George W. Bush ! Il s’agit d’Alexandre Adler, FRANC-MACON de la Loge Nationale Française. Corse Matin En 2009, l’historien et journaliste Alexandre Adler participait à un ouvrage prémonitoire. Dans Le nouveau rapport de la CIA – Comment sera le monde en 2025 ? Robert Laffont, l’hypothèse d’une pandémie est décrite avec des détails annonciateurs de la crise sanitaire actuelle. Ses analyses géopolitiques font référence et il adore la Corse. Ces deux qualités caractérisent le parcours d’Alexandre Adler, historien et journaliste réputé. Si son nom revient dans l’actualité, c’est en lien avec un livre paru en 2009, qu’il a notamment préfacé. Dans Le nouveau rapport de la CIA – Comment sera le monde demain, paru aux éditions Robert Laffont, le conseil national du renseignement américain émet des hypothèses sur l’avenir du monde. Parmi les scénarios envisagés, l’éventualité d’une pandémie mondiale. Comment est né le projet de publier la traduction des rapports de la CIA ? La CIA, pendant très longtemps, collectait des informations d’ordre géopolitique, émettait des hypothèses puis en informait de façon confidentielle une partie de l’opinion qui l’intéressait, notamment des directeurs de journaux. Plus tard, la CIA a rendu public une partie de ces rapports. Ce furent de grands succès de librairie. La CIA ne s’adressait plus à une petite élite mais au grand public. Les Américains ont eu le sentiment que la CIA leur parlait directement. Cela a donc intéressé l’édition française. C’est Nicole Lattès, alors directrice générale des éditions Robert Laffont, qui s’y est intéressée la première. Elle m’a demandé de lire la traduction française des rapports puis d’y adosser un commentaire en fonction de ce que j’avais lu. C’est ainsi que je me suis inscrit dans ce projet tout en gardant mon esprit critique. Dans l’un de ces rapports, datant de 2007, les experts de la CIA prévoient l’éventualité d’une pandémie à l’horizon 2025. L’apparition d’un virus type Covid-19 et sa propagation mondiale a-t-elle été négligée ? Le romancier Tom Clancy, lui-même très bien informé par la CIA, avait écrit Executive Orders en 1996. Il y décrivait déjà, avant l’heure, les ravages d’une pandémie mondiale dont on pensait à l’époque qu’elle serait provoquée par le virus Ebola. Cette description effrayante m’avait déjà interpellé. Il y fait un certain nombre de recommandations dont je me suis inspiré. J’ai écrit un texte dans lequel je préconisais de garder des stocks de médicaments. Mes amis me disent que j’ai été visionnaire mais j’ai simplement été inspiré par les idées de Philippe Séguin, dont j’étais proche. Je pensais notamment que c’était une erreur d’expatrier notre industrie pharmaceutique pour des raisons de coût. On a fait fabriquer nos médicaments en Asie, essentiellement en Chine. Je pensais qu’il était extrêmement dangereux de procéder ainsi, que l’on se retrouverait en difficulté, sans stock ni mesures de précautions. Quand on repart de zéro, il faut plusieurs mois pour que l’on puisse les refaire fabriquer en France, même si on dispose des ordonnances. Dans ce même rapport, les experts citent parmi les agents pathogènes, le coronavirus du Sras. Je l’avais oublié et je l’ai observé en le relisant. Je me souviens que le rapport baptisait le virus corona » parce qu’il symbolisait la pandémie ultime, le couronnement. Il semblait tellement grave que l’on pensait qu’il n’y en aurait plus. Je l’évoque donc dans le texte auquel vous faites référence, écrit en 2009, et qui prévisualise le monde en 2025. La probabilité d’un gros coup dur était évidente et il aurait fallu prendre des mesures de précaution, stocker des vaccins, des médicaments. C’était une attitude plus prudente, certes plus coûteuse aussi, qu’il aurait fallu observer. Pour être tout à fait honnête, je n’y ai plus fait attention après avoir écrit ce texte. Le virus Corona symbolise la pandémie ultime, le couronnement » Malgré toutes ces précisions prémonitoires, pourquoi n’étions-nous pas mieux préparés à l’apparition de ce virus ? Parce que nous étions dans l’idée absolument dominante, et dont Emmanuel Macron est un porte-parole, qu’il fallait essayer de maîtriser les coûts de la santé. Et ces économies, que personne n’a vraiment contestées, pas même moi je l’avoue, nous reviennent à la figure. De plus, on a complètement sous-estimé la rapidité du processus de mondialisation. L’apparition massive de touristes chinois ou russes en France était un indicateur. Cette immigration touristique était un phénomène nouveau qui m’avait interloqué. J’ai compris que la mondialisation n’était pas un vain mot. Tom Clancy dans son roman et la CIA dans ses rapports ont envisagé que ces flux touristiques deviennent des vecteurs de propagation d’un virus. D’autres ont tiré le signal d’alarme sur l’apparition de ces phénomènes de masse. Dans son analyse, la CIA ne pointe-t-elle pas également les dangers de la mondialisation ? Absolument, c’est d’ailleurs pour ça que j’étais en adéquation avec le rapport de la CIA qui plaidait déjà, à l’époque, pour une moindre dépendance au marché mondial. Les gouvernements américains avaient décidé d’investir énormément sur les nouvelles technologies et de délocaliser la production pharmaceutique courante, obtenue à un prix inférieur sur le marché asiatique. Dans son analyse, la CIA estime que ce n’est pas sage. Elle estimait qu’en cas de pandémie, en pensant surtout à Ebola, les États-Unis subiraient d’une part le chantage de la Chine et s’exposeraient d’autre part au risque de pénurie en temps de crise. Alors certes, on a trouvé le vaccin contre Ebola plus vite que prévu. Mais le vaccin contre le Covid-19, on ne l’a toujours pas trouvé. Dans ses prévisions les plus alarmantes, la CIA envisage des dizaines voire des centaines de millions de morts. Est-ce plausible en l’état actuel de la pandémie ? Je pense que ces évaluations sont surestimées et qu’heureusement, nous n’atteindrons pas ce bilan. Ils ont peut-être voulu faire peur et ils ont eu raison de penser au pire. Le déséquilibre de l’ordre mondial y est également évoqué. Des conflits internes ou transfrontaliers liés à la pandémie menacent-ils de déstabiliser le monde ? Cela me semble très exagéré. Je ne le crois pas. Lorsque des nécessités patentes se font sentir, je pense par exemple aux besoins en masques, il est évident qu’il peut y avoir des concurrences et la France vient d’en être victime. Mais à la fin des fins, la production se remet en marche et on finira par donner des masques aux soignants puis à toute la population. Pareil pour les tests. On va y arriver mais il faut un peu de patience. Et surtout ne pas donner la parole aux paniquards, aux lâches. Une fois l’épidémie derrière nous, quelles leçons sociétales, économiques et commerciales devront nous tirer ? Je pense que nous avons été trop loin et trop vite dans la mondialisation. Cela ne veut pas dire que l’antimondialisation est la réponse à apporter. Il faut penser une modélisation plus modérée. Certaines régions du monde doivent s’orienter vers une plus grande autonomie. De ce point de vue, la coordination européenne est absolument nécessaire. Nous sommes une trop petite zone de la planète pour refuser une unification. Mais elle doit être raisonnée et raisonnable. La santé publique, notamment, doit faire l’objet de mesures de précautions beaucoup plus importantes. La crise sanitaire nous montre que c’est un impératif plus important que d’autres. Nous devons essayer de ne pas faire prévaloir le raisonnement comptable, même quand il est séduisant. Les ralentissements liés à l’augmentation des coûts deviennent des accélérateurs en période de crise. En 2007, un rapport de la CIA détaillait la menace de pandémie 2009, les éditions Robert Laffont publient Le nouveau rapport de la CIA – Comment sera le monde en 2025 ? Au cœur de cet ouvrage de 310 pages, préfacé par Alexandre Adler et qui traduit les rapports du conseil national du renseignement américain, un texte court sur les pages 256 et 257. Le chapitre est intitulé Le déclenchement possible d’une pandémie mondiale » et détaille avec une précision saisissante les risques liés à l’émergence et à la propagation exponentielle d’un nouveau virus, à l’horizon 2025. L’apparition d’une nouvelle maladie respiratoire virulente, extrêmement contagieuse, pour laquelle il n’existe pas de traitement adéquat, pourrait déclencher une épidémie mondiale », y est-il mentionné. Dans leurs analyses géopolitiques, les experts du renseignement américains envisagent une crise sanitaire que personne, pourtant, n’a vu venir. Les experts voient dans les souches hautement pathogènes de la grippe aviaire telles que le H5N1 des candidats probables à ce type de transformation, mais d’autres agents pathogènes, comme le coronavirus du Sras et diverses souches de la grippe, auraient les mêmes propriétés », détaille le rapport. Coronavirus, maladie respiratoire, Chine tout y est Mais ce n’est pas tout. Signe que les experts avaient quasiment tout prévu, l’émergence du virus y est décrite jusqu’à sa région d’apparition. Si une maladie pandémique se déclare, ce sera sans doute dans une zone à forte densité de population, de grande proximité entre humains et animaux, comme il en existe en Chine et dans le Sud-Est asiatique où les populations vivent au contact du bétail. » Le scénario catastrophe, analysé et écrit en 2007 aux États-Unis, avant sa parution en France en 2009, s’avère glaçant de précision, a posteriori. Il faudrait des semaines pour que les laboratoires fournissent des résultats définitifs confirmant l’existence d’une maladie risquant de muter en pandémie …, poursuit le rapport. En dépit de restrictions limitant les déplacements internationaux, des voyageurs présentant peu ou pas de symptômes pourraient transporter le virus sur d’autres continents. Les malades seraient de plus en plus nombreux, de nouveaux cas apparaissant tous les mois. L’absence d’un vaccin efficace ou d’immunité dans le reste du monde exposerait les populations à la contagion. » L’analyse s’achève sur des prévisions sanitaires catastrophiques, prédisant plusieurs dizaines de millions de morts. Une évaluation revue à la baisse par Alexandre Adler lire ci-dessus. L’historien et journaliste a signé la préface et les commentaires du livre Le nouveau rapport de la CIA – Comment sera le monde en 2025 ? Alexandre Adler préconise de stocker des vaccins Le rapport prétend nous livrer des scénarios construits et alternatifs du destin de notre monde », explique l’historien dans son prologue. Avant cela, poursuit-il, les auteurs du rapport ont aussi voulu un peu sacrifier aux préoccupations du moment en imaginant plusieurs films catastrophe qui sont autant de signaux d’alerte nécessaires à une approche globale des risques futurs. » Terrorisme, bouleversements climatiques, conflits internationaux, guerres de religions, luttes commerciales, tous les grands enjeux géopolitiques sont passés au crible et commentés par Alexandre Adler. Ce dernier s’arrête notamment sur l’éventualité d’une crise sanitaire. Un peu plus vraisemblablement, on évoque aussi dans un encadré la transmission d’une maladie infectieuse sans vaccin connu de l’Afrique vers le reste du monde, hypothèse inspirée de l’apparition du virus Ebola. » Comme il le précise dans l’interview qu’il a accordée à Corse-Matin lire-ci dessus, il préconise déjà, en 2009, de prendre des dispositions pour lutter contre ces bouleversements annoncés. Il résulte de ces nouvelles menaces autant d’actions de veille technologique et de protection, telles que des stocks de vaccins, qu’il faudra envisager de prendre à l’avenir », prévient-il. Manifestement, il n’a pas été entendu. FIN DE L’ARTICLE ***** Les Franc-maçons ont toujours des buts bien définis pour NOTRE BIEN », bien entendu !!!. Ce sont des buts pour favoriser les avortements de masse la mise à mort qu’ils appellent euthanasie » pour les personnes hospitalisées qui ne servent plus à rien à la société » dixit Jacques Attali et la vaccination de masse dont le Big Pharma se gave qui fait des ravages chez beaucoup de patients. La bande à Bill Gates n’est jamais loin lorsqu’il s’agit de s’en mettre plein les poche……..mais Donald Trump les a identifié, démasqué et dévancé depuis le début. M. Fauci a joué un rôle de leadership dans le cadre du Plan mondial de vaccination » en partenariat avec la fondation Bill et Melinda Gates. Naturellement, il repoussera le traitement à l’hydroxychloroquine + à l’azithromycine et optera plutôt pour un vaccin breveté. » Et lorsqu’on apprend que celui qui dirige l’OMS est payé par la Chine, le puzzle se met en place petit à petit. L’Organisation mondiale de la Santé s’est toujours pliée à la volonté du Parti communiste chinois au détriment de la santé mondiale et de contenir la propagation du coronavirus ». Senateur Ted Cruz Parce-que ce triste sire, M. Tedros, qu’ils ont fait Directeur de l’OMS, appartient à la China pantin, tout en étant originaire de son pays l’Éthiopie. On ne peut servir qu’un seul pays LE SIEN et le pays qui vous achète . Le directeur de l’OMS fait face à des appels à la démission sur le traitement du coronavirus, Chine Le Dr. Tedros a trompé le monde. À un moment donné, il a même fait l’éloge de la transparence » de la Chine pendant ses efforts de riposte au coronavirus, malgré une montagne de preuves montrant que le régime cachait la gravité de l’épidémie. Cette tromperie a coûté des vies. » Le Larbin des communistes a bien appris sa leçon après que nous l’ayons répandu, tu dois dire maintenant qu’il peut-être battu » Pour la première fois, Chine n’a signalé aucun cas interne COVID19 hier. C’est une réalisation incroyable, qui nous donne à tous l’assurance que le coronavirus peut être battu. » Lui vient en aide une Comrade » Pompeo dit à Fox Nouvelles La Chine a permis à des centaines de milliers de personnes de quitter Wuhan pour aller à des endroits comme l’Italie qui souffre maintenant si mal ». Arrêtez de mentir ! Comme l’ont dit les experts de l’OMS, les efforts de la Chine ont permis d’éviter des centaines de milliers de cas d’infection. » Mais Nikki Haley ne lâche pas l’affaire ». Cela a été publié par l’OMS le 14 janvier. L’OMS doit expliquer au monde pourquoi elle a cru la Chine sur parole. Tant de souffrances ont été causées par la mauvaise gestion de l’information et le manque de responsabilité de la part des Chinois. » Cet homme a été mis en place par les agents de la CIA agissant pour le Deep State sous George W. Bush et payé par la Chine pour faire la promotion des laboratoires chinois. Tout le Monde aura désormais compris pourquoi Donald Trump a toujours dit CORONAVIRUS CHINESE Président realDonaldTrump recommande que certains Américains portent des masques et d’autres revêtements faciaux protecteurs pour lutter contre la propagation du coronavirus chinois. » Pour avoir menti et caché le coronavirus au monde jusqu’à ce qu’il devienne une catastrophe de gagner des milliards de dollars en vendant des fournitures médicales, je prie pour que le peuple Chinois obtienne bientôt sa liberté et pour que le gouvernement communiste chinois pourrisse en ENFER. Faites Payer la Chine Donald Trump. »
Lesprévisions de la CIA pour le futur de la planète ne sont pas optimistes, loin de là. Le rapport de l'agence américaine, publié tous les quatre ans et

Debats-opinions > Lettre à mes enfants “Vous allez vivre dans un futur vertigineux” CHRONIQUE. Par Laurent Alexandre, fondateur de Doctissimo et DNAVision. Comment se forger des valeurs dans un monde en pleine mutation ? Quelle formation faut-il choisir ? Que faire de sa vie ? Dans cette lettre à ses enfants, notre chroniqueur Laurent Alexandre livre quelques pistes de réflexion. À 55 ans, je suis un vieux con. J’ai donc peu de légitimité pour vous donner des conseils. Le futur dans lequel vous allez évoluer est différent du monde qui m’a formaté. Vous ne le réalisez pas mais je suis né cinq ans avant l’énoncé par Gordon Moore de sa loi. Je viens du monde d’avant les NBIC. Je suis un homme du passé. Vous allez vivre dans un futur vertigineux. Au XXIe siècle, les scientifiques vont euthanasier la mort, créer la vie artificielle, manipuler les cerveaux, augmenter nos capacités, développer une intelligence artificielle. Beaucoup des repères de ma génération vont se dissoudre dans la révolution technologique. Dès lors, comment se forger des valeurs ? Quelle formation faut-il choisir ? Que faire de votre vie ? “Pisser du code n’est pas un métier d’avenir” Sur le plan scolaire, n’oubliez jamais les humanités. Aucun technicien ne résistera à la croissance exponentielle des automates et de l’intelligence artificielle. Apprendre à coder n’est pas inutile, mais n’oubliez pas que bientôt le code sera écrit par des algorithmes pisser du code informatique n’est pas un métier d’avenir. Il faut apprendre à décoder le monde plus qu’à coder des programmes informatiques. Vous êtes déjà des encyclopédies technologiques, tentez de devenir des “honnêtes hommes”. Nous ne savons pas encore les tâches qui ne seront pas automatisables soyez flexibles, transversaux et opportunistes. Ne soyez pas les victimes d’une école qui forme aujourd’hui aux métiers d’hier. Ne devenez pas chirurgiens, l’acte chirurgical sera à 100 % robotisé quand vous aurez fini vos études de médecine ! Surtout, ne faites pas l’ENA une école dont on sort sans connaître la loi de Moore ne devrait pas exister ! N’écoutez pas vos maîtres, ils connaissent bien moins le futur que vous. “Votre génération va dessiner les contours de cet homme Le monde qui vient sera éminemment politique que fait-on du pouvoir démiurgique dont nous allons disposer sur notre nature biologique ? Il faut faire le pont entre les NBIC et l’histoire, la culture, la philosophie. Votre génération a une responsabilité historique. Vous allez prendre des décisions qui engagent l’avenir de l’humanité. C’est votre génération qui va dessiner les contours de cet homme puissant et quasi immortel, que la Silicon Valley et notamment les dirigeants de Google appellent de leurs vœux. Soyez suffisamment forts pour ne pas vous laisser berner par les utopies mortifères, fussent-elles sympathiques… Les transhumanistes sont en train de gagner la bataille des cœurs il leur faudra des contre-pouvoirs. Soyez partie prenante de ce débat fondamental l’humanité ne doit pas se transformer sans débat philosophique et politique. “Fuyez les gourous égocentriques et suivez de belles causes” Une barbarie technologique est possible. Non pas sous la forme de Bienvenue à Gattaca, mais plutôt sous les traits d’un 1984 aux couleurs des NBIC. C’est pourquoi je vous conseille de refuser l’idée de gouvernement mondial. Il faut garder plusieurs ensembles géopolitiques. Imaginez un gouvernement mondial qui se servirait des NBIC pour créer une neurodictature éternelle ! Laissez encore une petite chance à l’Europe. Mais si le déclin de notre continent continue du fait de la médiocrité et de l’incompétence technologique de nos élites politiques, partez dans la zone Asie-Pacifique sans hésiter. Emportez tout de même avec vous les recettes de cuisine que je vous aurai apprises. Rien de ce que nous faisons n’est réellement altruiste nous agissons toujours pour avoir des bénéfices secondaires psychiques. Augmenter notre production cérébrale d’endorphines est notre seul moteur. Ce constat troublant ne doit pas vous conduire à être misanthropes et cyniques ce n’est pas parce qu’on est altruiste par égoïsme neurobiologique qu’il ne faut pas l’être. Essayez de faire un peu de bien au nom d’une morale détachée de Dieu Good without God, que vous soyez athées ou croyants faire le bien par peur de la transcendance est tellement minable ! Fuyez les gourous égocentriques et suivez de belles causes. Prenez exemple sur Bill Gates, le plus grand héros du XXIe siècle, qui a déjà sauvé 10 millions de vies grâce à ses campagnes sanitaires dans les pays pauvres. Essayez d’être le plus libre possible en combattant vos déterminismes génétiques et neurobiologiques. Bien sûr, ne faites jamais rien en fonction de ce qu’auraient fait vos parents soyez autonomes ! C’est pourquoi vous ne devez pas lire cette lettre, que je ne vous enverrai pas. Chronique extraite de We Demain n°11 Laurent Alexandre est Chirurgien-urologue et neurobiologiste, fondateur de Doctissimo, Président de DNAvision. dr_l_alexandre

EIdG. 497 283 420 368 69 23 27 218 419

alexandre adler comment sera le monde de demain