Jeveux seulement te dire merci Par Serge Gainsboug
Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Stand With Ukraine! Artiste Mireille Mathieu Album Rencontres De Femmes 1988 français français Je veux te dire â C'est comme une esclave enchaĂźnĂ©e Ă la terre Et qui aimerait sa chaĂźne C'est comme les pĂšlerins qui reviennent Sans jamais se fatiguer En silence je m'attache Et je suis l'ombre et tu es la lumiĂšre Et tout Ă coup je reste sans parole Parce que tout dĂ©pend de toiJe veux te dire que... Mais j'hĂ©site! Je veux te dire que... Difficile! Et si tu sais trouver les mots Que je n'ai pas trouvĂ©s Je serai belle de les Ă©couter Je veux te dire que... Impossible! Et que nos chemins sont les mĂȘmes Je ne sais pas le dire mais... Mais tu le sais dĂ©jĂ Que tu es lĂ Et que ma vie c'est toiC'est comme une esclave enchaĂźnĂ©e Ă la terre Et qui aimerait sa chaĂźne C'est comme les pĂšlerins qui reviennent Sans jamais se fatiguer En silence je m'attache Et je suis l'ombre et tu es la lumiĂšre Et tout Ă coup je reste sans parole Parce que tout dĂ©pend de toiJe veux te dire oui que je t'aime Et que nos chemins sont les mĂȘmes Mais tu le sais dĂ©jĂ Que tu es lĂ et que ma vie c'est toi â Ajouter une nouvelle traduction Ajouter une nouvelle demande Music Tales Read about music throughout history
Jete dirai seulement: va te faire voir N'espĂšre mĂȘme plus une parole de mes lĂšvres Tu viens de me plonger dans le noir En choisissant de mettre fin Ă notre trĂȘve. Comment ai-je pu ĂȘtre aussi naĂŻve et pourtant, je me suis toujours mĂ©fiĂ©e Ă passer ma vie sur le qui-vive mais j'ai reculĂ© par peur de t'aimer. Je te dirai seulement: tu es un bel enculĂ© et moi une belle sotte, de mettre
IsaĂŻeVen 19 AoĂ» 2022 - 1106 Informations du personnageNom Nâen possĂšde pasPrĂ©nom IsaĂŻeSexe Devine⊠AnnĂ©e de naissance 178NationalitĂ© MizujinPays d'origine Mizu no KuniCapacitĂ© SpĂ©ciale Sabreur le Sabre FurieDĂ©tails de votre CS ăĄă€ăčăčăăł â Meisusukin Litt. Peau de MassueOrigine ???Apparence Un Ă©norme et Ă©trange bĂąton moitiĂ© bois, moitiĂ© acier, moitiĂ© obsidienne. Un genre de macuahuitl » hors de proportion lâarme fait presque deux mĂštres de long et gagne cinquante centimĂštres sur sa plus grosse largeur et ornementĂ© de symboles Furie â Les blessures subies contraignent des renforcements physiologiques au combattant. Force, vitesse et endurance sont amĂ©liorĂ©es par des dĂ©charges d'adrĂ©naline, d'endorphine et autres altĂ©rations psychiques. Plus les blessures subies sont importantes, plus les boost le sont, plus l'esprit du combattant sombre dans la furie. Il passe progressivement de la colĂšre Ă la folie meurtriĂšre. Au seuil de la mort, le combattant est surhumain, mais n'aura de cesse de lutter jusqu'Ă le Guerrier en manteau blanc tĂąchĂ© de sang. Il porte un masque miroir sur le du personnageDes yeux bleus effrayĂ©s oĂč luit une nuance de folie. Des longs cheveux blancs et ondulĂ©s jusquâaux Ă©paules, comme des nuages juchĂ©s sur un visage pĂąle aux traits si harmonieusement fins quâils expriment la ligne flottante entre virilitĂ© et fĂ©minitĂ©. Un mĂštre soixante-dix-sept pour environ soixante kilos. Le corps est athlĂ©tique et vigoureux. Il porte en collier une toute petite poupĂ©e de chiffon partiellement du personnageCocon de folieIl existe une sĂ©pulture sous le ciel d'un dĂ©sert. Une seule tombe pour deux dĂ©pouilles. Sa stĂšle nâest quâune petite pierre, et dessus est gravĂ© un seul mot, comme le croquis dâun mot, câest⊠PARDON »Chapitre ISi je reviens pas, surtout, pense surtout aux lilas. De toutes parts la voie est ouverte tant Ă la sagesse qu'Ă la folie, et beaucoup d'hommes ne savent tristement pas discerner le vrai chemin quâils choisissent. Il est possible que toutes les histoires suivent ce schĂ©ma certaines mĂšnent Ă la folie, dâautres Ă la sagesse, tandis que lâaventurier dans le rĂ©cit de sa propre vie, va, hĂ©bĂ©tĂ© et aveugle, sans ne savoir quel tracĂ© il emprunte dans son pĂ©riple. Et encore, avoir la sagesse de cheminer sur la bonne route ne suffit pas ; il faut sur son parcours pouvoir lâinfliger aux autres, si l'on ne dĂ©sire pas endurer leur folie. La folie est plus contagieuse que la sagesse. La sagesse Ă©touffe autant quâelle Ă©clot dans la folie. Peut-ĂȘtre mĂȘme, la sagesse nâest-elle quâune folie qui se sait folle. Quelle vĂ©ritĂ© serait cachĂ©e lĂ ? Un chemin empruntĂ© par chacun, mais vĂ©cu diffĂ©remment par tous. Dans le bonheur des hommes, quelques similaritĂ©s existent. Ils semblent tous ĂȘtre heureux de la mĂȘme façon, alors que le malheur, lui, est dĂ©sespĂ©rĂ©ment aussi unique que propre Ă lâindividu. Une histoire ne commence jamais seule, elle est toujours accouchĂ©e dâune autre la question originelle derriĂšre tous les chemins de vie, probablement dissimulĂ©e dans tous les rĂ©cits, Ă©tait au grand commencement, le point du jour le plus ancien, aussi le plus obscur, et est si loin dâaujourdâhui quâelle nâa jamais pu ĂȘtre encagĂ©e par la raison humaine ; nous ne pouvons que courir aprĂšs une rĂ©ponse Ă une inconnue. Penser le sens de la vie, câest comme creuser dans une nĂ©buleuse oĂč on se perdra de vue. Câest une sorte dâĂ©ternelle Ă©quation. Câest sans doute, Ă©galement la raison de notre intuition de lire, ou de vivre encore et toujours les mĂȘmes histoires ; elles fouillent, elles dirigent, lĂ oĂč notre pressentiment est conditionnĂ© Ă chercher. La plus profonde de nos questions est la vĂ©ritable cause du sentiment du Monomythe. La premiĂšre, la plus importante de toutes les questionsâŠ. La seule vraie rĂ©ponse au pourquoi » de ce mirage qu'est la vie, quâelle soit sagesse ou folie, et sâil existe, doit sĂ»rement nâĂȘtre quâune bonne question ; le choix est au chemin, ce que le destin est Ă la destination. La vie est un chemin choisi, et la mort une fin destinĂ©e. Ce doit ĂȘtre quelque part par lĂ , que se trouve cette unique et toute premiĂšre question. Entre la sagesse et la folie, entre un dĂ©but et une fin. Flasque est le jour du deuil. Ce jour sied mieux aux jours de pluie. Le soleil est mĂȘme un gĂącheur de chagrin. Il ne faut pas s'ensevelir dans son deuil, ni surtout s'enterrer dans son chagrin » croient sage de dire les amis de ceux qui pĂątissent d'une perte. Nâentendant le cri dâune Ăąme arrachĂ©e dâun de ses morceaux, ils ne font alors quâalimenter la folie. En effet, malheureusement, toutes les occupations paraissent rebutantes et odieuses Ă l'homme qui souffre dâĂȘtre privĂ© de ce quâil aime, sauf, peut-ĂȘtre bien celles qui lui promettent la mort de son regret ; il arrive frĂ©quemment que la mort de lâimpalpable soigne les maux dâune autre mort, elle, bien palpable. Il est rare que le deuil fasse son temps dâavance lorsquâil est imposĂ© brutalement. Il peut mĂȘme prendre beaucoup, beaucoup de temps. Prendre tout son temps, avoir besoin dâun prix plus Ă©levĂ© que celui de la pensĂ©e pour parvenir Ă passer. Ce jour ensoleillĂ© Ă©tait l'anniversaire de la mort dâune Ă©pouse et de son enfant pour un guerrier quâaucun mot de compassion nâaurait su ramener Ă de bons sentiments. Un an dĂ©jĂ Ă mĂącher sa rancune ne lui avait pas suffit. Son deuil ne sâachevait pas. Les religions eurent Ă©tĂ© plus humaines si, pendant un deuil, le fidĂšle pouvait blĂąmer sa divinitĂ© ; le sens du sacrĂ© ne lây autorisant presque jamais, faute de quoi, le jour dâoĂč relĂšve de se souvenir une mort et ses responsabilitĂ©s, c'est vers quelque chose de bien moins divin, rien qu'un homme souvent, que file le reproche. Si beau que le temps fut, tout paraissait sombre Ă IsaĂŻe, lorsque devant la tombe de son Ă©pouse et de son enfant rĂ©unis, il nâavait aucun dieu sur qui faire peser son ire. Il nâavait pour lui rien que le rappel dâune dette quâil se demandait devoir recouvrer ou non. Silencieusement, devant cette modeste sĂ©pulture, ensuite il se remĂ©morait cet instant, oĂč autrefois avant la mise en terre la veillĂ©e funĂšbre lui avait Ă©tĂ© si insoutenable quâil en avait dĂ» pour se calmer, aller trancher quelques arbres aprĂšs sâĂȘtre saoulĂ©. Elle Ă©tait si belle dans son cercueil, pensait-il. Câest drĂŽle, les crocs-morts embellissent le corps pour que le temps de lâenterrement, le trĂ©pas est seulement lâair dâune vie endormie, mais pour mon bĂ©bĂ©, il nây avait eu quâune boĂźte fermĂ©e. Les embaumeurs ne savent-ils masquer aussi la mort sur un nourrisson ? LâinĂ©galitĂ© rĂšgne peut-ĂȘtre jusque dans la mort. » Il dĂ©posa sur la tombe un bouquet de lilas. Les fleurs prĂ©fĂ©rĂ©es de sa dĂ©funte femme. Cette offrande ne le guĂ©rissait pas. Au bas de toute chose est la tristesse, comme aux extrĂ©mitĂ©s de tous les fleuves sera l'ocĂ©an. En pourrait-il ĂȘtre diffĂ©remment dans un monde oĂč tout ce que nous aimons doit disparaĂźtre ? Le silence, l'inertie, voilĂ la fin de tous nos remous ; et la mort, voilĂ le secret de la vie ; le deuil croque de prĂšs ou de loin l'Ăąme comme lâunivers est enveloppĂ© dans la nuit. Que la mort cicatrise tous les maux et soit le dĂ©but dâune immortalitĂ©, beaucoup disent le croire, mais pour combien de ceux qui restent cela signifie-t-il lâapaisement de leurs tourments ? Au prix dâune folie en sommeil, le souci de la vengeance emportait IsaĂŻe vers un autre pansement. Une femme, Anne Barratin, exprima cela si simplement, elle le rĂ©suma dâune seule volĂ©e AprĂšs certains deuils, le cĆur se ferme complĂštement le mort a emportĂ© la clĂ©. » Son hommage rendu, IsaĂŻe quitta le cimetiĂšre, direction le centre ville, vers la boutique dâune prĂȘteuse sur gage. LĂ -bas rĂ©sidait la seule personne qui prenait encore le temps de lui parler. Depuis un an, IsaĂŻe sâĂ©tait enfermĂ© dans son isolement et presque tous ses amis l'y avaient abandonnĂ©. Il ne lui restait plus quâune amie aujourdâhui. IsaĂŻe nâaccablait personne pour ça. Lucide, il savait quâil nây avait qu'au sein des romans que ceux qui souffrent sont attirants. Ă force de repousser on obtient ce quâon souhaite lâĂ©tendue dĂ©sertique dâune solitude seule Ă pouvoir ĂȘtre peuplĂ©e selon son grĂ©. Dans cette contrĂ©e, la mĂ©lancolie sâĂ©panouit. Le penchant Ă la solitude est l'un des symptĂŽmes ordinaires de la mĂ©lancolie. L'homme qui Ă©prouve ce sentiment de mĂ©lancolie fuit la transparence du jour et le volet du monde. Incapable de poursuivre vivement une autre pensĂ©e que celle qui le dĂ©vore, il se fait de la vie un vrai supplice et de cette torture, ne peut naĂźtre que lâabandon de ses semblables ; solitude et mĂ©lancolie sont les deux murs du repli sur soi que nulle ne peut plus franchir aprĂšs un temps. Vers onze heures du matin, le sabreur pĂ©nĂ©tra une casbah mĂ©connue des gens bien nĂ©s. Sa gĂ©rante Ă©tait du genre infrĂ©quentable aux yeux de ceux dont la morale dictait la conduite. Son mĂ©tier consistait en effet Ă plumer des civils et des shinobis encore plus infrĂ©quentables quâelle. Une petite porte avec un tout petit Ă©criteau ouvrait directement sur la salle principale contenant des vitrines, un comptoir et une foule dâobjets laissĂ©s lĂ par des misĂ©reux en manque de finances. Câest dĂ©jĂ lâheure de lâapĂ©ro ? fut accueilli IsaĂŻe par son amie dĂšs quâil franchit le seuil de la porte.â Komoe⊠Câest de toi que je tiens que câest toujours lâheure de lâapĂ©ro. Ils sont oĂč les clients aujourd'hui ? Câest quoi ce dĂ©sert ? se dirigea directement IsaĂŻe vers le comptoir.â Ă peine tu arrives, faut que tu critiques !â Sur qui je pourrais taper si câest pas toi ?â Pfff⊠Attends, je te ramĂšne une chaise. On va bien se mettre bien, installa-t-elle le sabreur juste en face dâelle. Tu reviens du cimetiĂšre ? lui demanda-t-elle ensuite en remplissant deux verres.â Oui. Et je ne tây ai pas vu, lâaccusa-t-il.â Allons⊠Bois, trinquĂšrent-ils alors en buvant chacun une premiĂšre gorgĂ©e dans une gorge nouĂ©e.â Je comprends tu sais. TâinquiĂšte pas. Je te taquine.â Tu taquines oui. Câest pas bientĂŽt la fin de ton congĂ© ?â Non⊠Ou peut-ĂȘtre bien. Je sais plus. Mais je viens quand mĂȘme reprendre Meisusukin aujourdâhui.â Tu comptes faire quoi avec ça si tu reprends pas du service ? Tu veux te refaire un peu la main avant de rempiler ?â Câest mon arme. Jâai pas de raison Ă te donner. Tu lâas quand mĂȘme pas vendue ?â Bien sĂ»r que non⊠Sois pas con. CâĂ©tait pas un gage cette massue. Et je veux pas dâemmerdes avec ton clan. Moi, je tâai juste promis de la conserver le temps que tu tâassures de pas faire de bĂȘtises avec. Jâavais pas envie que tu repandes lâenfer quelque part.â Lâenfer Ă©tait sur terre bien avant que lâhomme ne lâinvente en dessous.â De toute façon câest bien que tu la reprennes. Les shinobi vont pas te laisser te la couler douce indĂ©finiment.â Je ne compte pas y retourner tout de suite. Jâai quelque chose Ă faire avant.â Et câest quoi cette chose ?â Je lâai trouvĂ©. Je sais oĂč il est.â Comment tu lâas su ? comprit-elle tout de suite.â Balec, cracha presque IsaĂŻe.â Tu comptes faire quoi ? se noircit dans sa peur le regard de Komoe.â Le tuer. Quoi dâautres ?â Le monde est en guerre, et toi tu ne penses quâĂ te venger.â La guerre Ă©tait lĂ bien avant ma naissance, et continuera de lâĂȘtre bien aprĂšs ma mort. Tant quâun homme ne sera pas pleinement humain, le yuukan ne fera pas sa mue. Moi, j'ai ma vengeance. Une fois accomplie, je reviendrais accomplir ma mission pour Kiri. Mais pas avant.â Ă tâenfermer dans ta haine, les tĂ©nĂšbres vont te dĂ©vorer. Ce nâest pas ce quâelle aurait voulu pour toi.â Je sais mieux que toi ce quâelle aurait voulu pour moi. Et puis, toi tâes civile, tu comprends pas. Dans le monde shinobi, les tĂ©nĂšbres Ă©quivalent Ă la lumiĂšre. Tu veux que jâarrĂȘte de haĂŻr ? Mais putain soit pas folle. Si jâarrĂȘte de haĂŻr, quâest-ce quâil me restera Ă part ma douleur ?â Il y a des buts plus saints que la vengeance tu sais. Ăa existe ! Et dâautres moyens de mettre fin Ă ta douleur.â Un but, ça ne se choisit pas. Ăa se dĂ©couvre et on fait avec. Tâes qui pour me donner des leçons ? Tâas plus de soixante piges, et tu picoles comme un trou. Tu crois que noyer ta peine dans lâalcool câest mieux ?â Les barreaux qui ne sont pas en acier sont plus difficiles Ă ronger disait ma mĂšre.â CâĂ©taient quoi les barreaux de ta mĂšre ?â Mon pĂšre.â Et comment elle sâen est dĂ©barrassĂ©e du coup ?â Il est mort de la cirrhose avant quâelle sâen charge, dit-elle en vidant son propre verre.â Je ne compte pas attendre que la nature fasse son Ćuvre moi. Et puis pour tout te dire, j'ai l'impression vu ce que tu t'enfiles que ton pĂšre est restĂ© pour toi des barreaux », ajouta-t-il en vidant le sien. Komoe soupira, se leva, puis entraĂźna son ami sans un mot, dâun coup de menton, dans lâarriĂšre boutique. Câest rare de tâentendre fermer ta gueule, commenta-t-il cela.â Un bon ami sait savoir quand il faut se taire », se força-t-elle Ă en rire. Meisusukin attendait son propriĂ©taire. Lâarme Ă©tait si Ă©norme et si lourde quâelle Ă©tait Ă mĂȘme le sol dâun cĂŽtĂ© et sur un reposoir de lâautre. Lorsque IsaĂŻe la saisit, un flash lâenvahit. Ce fut fugace, rien quâun instant, la tĂȘte dâun guerrier en manteau blanc tĂąchĂ© de sang et avec un masque mirroir oĂč IsaĂŻe vit le reflet de son propre visage. Il ne le craignit pas, ni ne sâen Ă©tonna. Mon vieux compagnon », pensa-t-il au contraire un sourire malsain Ă la commissure en la soulevant. Bordel, mais comment tu peux manier ça ?â Lâhabitude.â Elori nâaimait pas que tu la portes. Elle me disait quâelle te rendait dangereux.â Ăa ne lâa pas empĂȘchĂ©e de me la donner. Elle Ă©tait convaincue que lâavenir de la femme Ă©tait de tenir lâhomme dans ses mains et dâen tirer le meilleur parti. Elle nâĂ©tait pas douĂ©e avec une arme. Mais elle avait bien mieux pour dominer.â Quoi ?â Du cĆur. Beaucoup de cĆur. Un beau cĆur. Elle avait un pouvoir Ă©trange sur moi. Ă lâĂ©poque oĂč je lâai connue, jâavais du mal Ă respirer Ă cĂŽtĂ© dâelle. Je crois quâune femme a toujours en elle lâidĂ©e quâelle peut façonner Ă son image ce quâelle aime. Elori me prouvait tous les jours que câĂ©tait possible.â Tu pars pour oĂč du coup ?â Kaze no Kuni. Câest lĂ -bas quâil se cache. Alors câest lĂ -bas que je vais.â Câest le bout du monde oĂč tu te rendsâŠâ Jâai tellement entendu que le monde est petit que le bout du monde ne doit pas ĂȘtre si loin que ça.â Kiri va te laisser partir comme ça ?â Soit ça, soit ils me traqueront pour me tuer. Je ne dĂ©serte pas tu sais. Je compte revenir.â Et si⊠Si tu ne revenais pas ?â Si je reviens pas, surtout, pense surtout aux lilas.â Va te faire foutre.â Ă la prochaine Komoe et merci pour le verre », alla ensuite IsaĂŻe vers la sortie. Sur son chemin, IsaĂŻe prit soin de garder dans une poche deux lettres, dont une lettre quâil avait Ă©crite Ă son Ă©pouse. CâĂ©tait bien aprĂšs son dĂ©cĂšs quâil lâavait rĂ©digĂ©, un jour, juste comme ça oĂč il avait Ă©prouvĂ© cette pulsion qui l'avait astreint Ă mettre des mots sur les songes qui le rongeaient Ă mon amour, autant que souffle lâincertitude, et que me mĂšne en altitude, pour que je mây asphyxie, et cesse enfin de craindre la folie. Aussi moi-mĂȘme que pourrais-je, en mal ou en bien, quâen saurais-je⊠Tout lĂ haut, mort sĂ»rement pour te venger ou te rejoindre, Ă dĂ©faut dâĂȘtre qui je veux ĂȘtre, qui tu aurais voulu que je fusse, me contenterais-je dâĂȘtre. Cela suffira Ă mon bonheur. Ă cette altitude, plus dâincertitude. Accompli, enfin, je saurai comment te revoir, ou oĂč semer mon malheur. »âââââââââââââââââââââââââââââââââââââââââChapitre IILe confort du dĂ©sertSi Chaque Paysage est un Ătat d'Ăme » selon le lĂšgue dâHenri FrĂ©dĂ©ric Amiel, une mer dĂ©sertique sous un soleil de plomb correspond Ă quelle disposition ? Faut-il en plus que le silence ne soit entravĂ© dâaucune sombre mĂ©lodie pour que le tableau soit parfait. La petite Kieyasu ĂągĂ©e dâĂ peine six ans ne disposait pas de ce privilĂšge. JetĂ©e hors de la tente familiale, dans celle-ci et derriĂšre son dos hurlaient son pĂšre, sa mĂšre, et leur ami quâelle appelait oncle. Le paternel Ă©tait incontrĂŽlable comme cela lui arrivait souvent depuis son retour un an auparavant. Elle en ignorait la cause et se faisait tĂ©moin malgrĂ© tout de ses accĂšs de fureur, de la violence infligĂ©e Ă sa mĂšre aussi loyale que dĂ©vouĂ©e, ou de ses verbiages guerriers auxquels elle ne comprenait rien. Lâami de la famille, quâon lui avait prĂ©sentĂ© en tant que Kyochori Yamanaka lâavait habituĂ© Ă sâoccuper selon ses propres moyens pendant ces mauvais moments. Câest pourquoi Ă cet instant, dans le sable du dĂ©sert, avec un bout de bois, elle dessinait ses propres paysages. Ceux-lĂ Ă©taient-ils ses Ă©tats d'Ăąme ? Que pouvaient-ils ĂȘtre tandis que de la violence de son foyer naissait son silence ? Elle aurait tant aimĂ© quâon lui fĂźt assez confiance pour lui dire les fĂącheuses vĂ©ritĂ©s, mais on lâĂ©coutait aussi peu quâon les lui avouait. La biensĂ©ance exigeait aux yeux des adultes qui en avaient la garde, que pour la protĂ©ger on lui cachait le poids dâun passĂ©. Si seulement, si seulement eux, ils avaient su, que la vĂ©ritĂ© dissimulĂ©e derriĂšre la biensĂ©ance nâest quâhypocrisie. Afin de se prĂ©munir de la dĂ©raison environnante, Ă cette enfant ne subsistait donc quâune imagination fertile oĂč sĂ©journait l'aptitude Ă se prĂ©munir de tout ce qui lui Ă©tait extĂ©rieur et insupportable. Lâinstinct de prĂ©servation sait prendre tous les chemins de traverse lorsque lâintĂ©gritĂ© est en cause. Ses rĂȘves dâun ailleurs Ă©taient ses Ă©tats dâĂąme, ils Ă©taient le son de son silence. Le son de son silence, Ă©tait le rĂȘve dâun pays, lâespoir dâun foyer sans violence. Cette fois-ci, la tempĂȘte dura une vingtaine de minutes. Lâapaisement des cris lui indiqua que lâorage Ă©tait passĂ©, mais elle ne dĂ©sira pas retourner dans la tente. Rapidement, Kyochori sortit et la rejoignit. Calmement, il sâassit Ă cĂŽtĂ© dâelle et, afin de nouer un contact, lui prĂ©senta une petite poupĂ©e de chiffon. Tiens, jâai fait ça pour toi, la lui proposa-t-il tendrement.â Merci, lâaccepta-t-elle en forçant un court sourire. Quâest-ce quâils font mes parents ? demanda-t-elle ensuite en continuant de regarder ses dessins dans le sable et en tripotant sa poupĂ©e.â Ton pĂšre sâest endormi et ta mĂšre le veille. Ils ont besoin de se reposer tous les deux.â Comment tâas fait pour quâil dorme ? Jâaimerais apprendre Ă faire quâil dorme.â Je soigne sa tĂȘte. Je peux rentrer dans la tĂȘte des gens. Je rentre dedans, et je cherche dans ses mauvais souvenirs pour les lui enlever. Toi tu peux pas faire ça. Tu peux pas le faire comme moi. â Pourquoi ? â Câest un pouvoir de mon clan.â Les shinobi mĂ©decins peuvent pas le guĂ©rir eux ?â Ils ne soignent que le corps. LĂ le problĂšme est plus profond. Les souvenirs qui lui font mal sont trĂšs profonds.â Merci.â Ton pĂšre est un trĂšs vieil ami. Il mâa plusieurs fois sauvĂ© la vie. Je lui dois bien ça.â Je sais dĂ©jà ça. Merci de me parler.â Ăa doit ĂȘtre dur pour toi. DâĂȘtre venu vivre ici. Tout ça. â Il fait chaud ici. Mais ça va. Pourquoi il a des mauvais souvenirs mon pĂšre ? â Je⊠Il⊠Je ne peux pas te le dire. Ce nâest pas Ă moi de te le dire.â Si tu le dis, se referma lâenfant.â Câest Ă cause de la guerre. LĂ -bas, on a fait des choses. De mĂ©chantes choses. Câest ça qui fait trĂšs mal Ă ton pĂšre, avoua-t-il finalement par culpabilitĂ© envers lâenfant.â Moi aussi un jour jâirais Ă la guerre ? » sâinquiĂ©ta donc la petite fille. Kyochori se mordit la lĂšvre et sâen arracha un bout de peau. Ses joues tombĂšrent avec ses yeux de nâĂȘtre certain de la vĂ©racitĂ© de la rĂ©ponse quâil souhaitait offrir. Kieyasu entortillait le chiffon de sa poupĂ©e et nâobtenant pas la rĂ©ponse Ă sa question, finit par la dĂ©laisser pour fixer des yeux innocents sur le Shinobi. Il secoua la tĂȘte, se reprit Nous sommes ici pour que ça nâarrive pas. Mais je ne peux pas te dire non. Ta vie tâappartient et tu seras la seule Ă dĂ©cider de ce que tu en feras. Nous les adultes, notre rĂŽle câest de prĂ©parer Ă faire tes propres choix.â Je veux pas aller Ă la guerre. Je veux pas ĂȘtre comme papa.â Ă la guerre dans ce monde, on est obligĂ© dây faire face. Mais tu dĂ©cideras comment le faire. Et ce sera pas forcĂ©ment en la faisant.â Comment alors ?â Jâen sais rien encore. Jâen sais rien. Mais dĂšs que jâai la rĂ©ponse, promis, je te la donne. Je dois aller chercher de lâeau. Je peux te laisser ?â Non. Je veux y aller.â Je peux pas te laisser partir toute seule jusquâau puits.â Je veux y aller. Jâen ai marre de rien faire. Laisse-moi y aller.â Je suis sĂ»r que je vais le regretter.â Câest Ă moi de dĂ©cider ce que je veux faire, tu as dit. Je veux dĂ©cider maintenant. Je veux y aller.â Pas de dĂ©tour hein ? Tu me le promets ?â Promis. »Vers le mĂȘme puits oĂč Kieyasu se rendait, approchait dĂ©jĂ IsaĂŻe. Les informations quâil avait obtenues de quelques marchands ne lui avaient pas permis de savoir plus que la cachette de sa proie fut en ce dĂ©sert. VoilĂ alors trois semaines quâil y dĂ©ambulait sans trouver aucune trace, mais il nâabandonnait pas. Pour lâheure, ce dont il avait besoin câĂ©tait de l'eau, et heureusement il avait pris soin de se faire indiquer sur une carte en sa possession oĂč se situaient les diffĂ©rents puits de cette rĂ©gion. Câest un homme transpirant de ce que le soleil nâavait aucun lit de nuage pour sâamoindrir qui atteint le puits sur lequel il se jeta. AssoiffĂ©, il tira bien vite lâeau du gouffre, cependant, il Ă©prouva aussi et toujours une certaine quiĂ©tude Ă vagabonder en cet endroit. Dans le dĂ©sert oĂč tous les horizons se ressemblent, les souvenirs paressent sous la lumiĂšre ; câest lĂ oĂč les traces ne durent pas, rĂšgne comme une absence de temps, pas de passĂ©, ni dâavenir. Ă celui que l'histoire entrave, un temps Ă©thĂ©rĂ© sera antidouleur. Lâeau fraĂźche passĂ©e sur son visage, en relevant la tĂȘte, IsaĂŻe aperçut ce quâil crut ĂȘtre un mirage, Je devais ĂȘtre sacrĂ©ment dĂ©shydratĂ© », pensa-t-il mĂȘme, mais la durĂ©e de la vision le convainquit de sa rĂ©alitĂ©. Au loin, une petite fille marchait vers le puits, avec un seau dans les mains et une poupĂ©e de chiffon portĂ©e en collier. Bonjour, dit-elle simplement Ă un mĂštre de lui.â BonjourâŠâ Vous avez fini ? Je peux me servir ?â Oui oui, bien sĂ»r.â Câest une Ă©pĂ©e ça ? demanda-t-elle innocemment en contemplant l'Ă©normitĂ© de Meisusukin et en remontant de lâeau du puits.â Je m'en sers de casse-noisette avec aussi de temps en temps.â Câest pas un peu gros pour casser des noix ?â Certaines noix sont plus grosses que dâautres, la fit-elle rire.â Vous faites quoi ici ?â Je me perds je crois.â Parce qu'il n'y a pas de route ? le fit-elle rire aussi en retour.â Ha ouais. Jây avais pas pensĂ©, mais ça doit jouer.â Ici câest quand mĂȘme mieux que lĂ oĂč jâhabitais avant.â OĂč ça ?â Ă Hi no Kuni. Ă la campagne. Mais câest la guerre lĂ -bas. Ici câest plus tranquille.â Moi non plus jâaime pas les campagnes en guerre. On y trouve que des chemins sans panneaux et des maisons vides.â Vous connaissez Hi no Kuni ?â Jây suis dĂ©jĂ allĂ©. Une fois ou deux. Vous avez fui la guerre avec ta famille ?â Oui. On est venu ici pour soigner mon pĂšre qui est malade.âDĂ©solĂ© pour toi. Câest pas de bol.â Ăa veut dire quoi ?â Que tu nâas pas de chance.â Je sais pas ce que câest la chance.â Câest quand ça va bien sans trop dâeffort.â Alors je commence Ă en avoir. Ici, ça commence Ă ĂȘtre mieux. Vous vous appelez comment ?â IsaĂŻe.â IsaĂŻe comment ?â Quand mes parents mâont vendu, ils nâont pas pensĂ© Ă me donner un nom de famille.â Comme les chiots ?â Ouais⊠C'est ça... Comme les chiots.â Câest pas trĂšs gentil.â Et toi tu tâappelles comment ?â Kieyasu Aburame.â Aburame ? Vraiment ? Câest pas vraiment la rĂ©gion pour en rencontrer, se durcit IsaĂŻe. Il sâappelle comment ton pĂšre ?â Genzu. »Il n'y avait rien qui ne lui payait un impĂŽt de joie, rien qui, pour un enfant, toute chose nâĂ©tait autre quâun jouet. Mais pas chez cette enfant nĂ©e parmi les dĂ©mons. Elle nây avait pas encore perdu son innocence, mais sans en avoir conscience, nâĂ©tait dĂ©jĂ plus totalement dupe des rĂ©alitĂ©s de la vie ; que dans chaque Ăąme perdue, câest un peu du monde qui meurt. Les papillons sur l'air, les bleuets dans les blĂ©s, le sable sous les Ă©cumes, la luzerne des campagnes, les allĂ©es vertes des bois, normalement tout fournissait Ă lâenfant des plaisirs, tout lui promettait ici-bas des fĂ©licitĂ©s mystĂ©rieuses. Un mensonge Ă lâenfant crĂ©ait du rĂȘve. Pour les enfants, le rĂȘve est constant, la vie devrait ĂȘtre un jeu. Elle, elle ne jouait hĂ©las dĂ©jĂ plus. Comme pour les adultes, son rĂȘve ne cessait dâĂȘtre une fuite en avant. Plus la rĂ©alitĂ© est brutale, plus les marchands de rĂȘves ont des chances de faire fortune auprĂšs des adultes. Plus la sociĂ©tĂ© est terrible, plus ce qui peut en faire sortir est vendeur. Elle est seule dans le dĂ©sert. Elle seule devant un guerrier et nâa mĂȘme pas peur. Elle a lâair diffĂ©rente des autres gosses. Pourquoi ? Pourquoi elle a lâair diffĂ©rente ? Et si je la tuais. Pour lui faire mal. Aussi mal que jâai mal, dans combien de temps il le saurait ? Quâest-ce quâil comprendrait Ă ĂȘtre privĂ© Ă son tour de ce quâil mâa privĂ© ? », se disait-il en mĂȘme temps. Ăa va ? Vous ĂȘtes tout blanc dâun coup, sâinquiĂ©ta Kieyasu.â Je pensais Ă quelque chose de pas agrĂ©able. Excuse-moi », nâosa-t-il la regarder dans les yeux. Instinctivement, la petite fille posa son sceau rempli dâeau. Elle dĂ©crocha ensuite de son cou sa poupĂ©e en collier, et lâoffrit au guerrier. Câest pas grand chose, je peux pas rester pour vous Ă©couter, mais jâai que ça. Si vous voulez je vous la donne », la tendit-elle innocemment. IsaĂŻe ignora quelle fibre de son ĂȘtre fut atteinte, quelle substance de son inconscient fut percĂ©e, mais ce geste eut sur lui un effet dĂ©vastateur. Le shinobi pensa alors aux gens qui riaient de ceux qui croyaient aux anges. Il se demanda, maintenant quâil avait rencontrĂ© une chose aussi sublime, sâils changeaient de point de vue lorsque leurs yeux se posaient sur leur enfant, leur chair, leurs entrailles, leur avenir. Lui aussi, autrefois, avait sans doute Ă©tĂ© un petit ange tout innocent, mais il se rappela en se considĂ©rant face Ă ce quâil admirait, que les petits anges faisaient de grands diables ; Pas celui-ci, pitiĂ©, pas celui-ci », supplia-t-il alors le ciel de l'aider Ă se contenir. Puis Pourquoi tu me la donnes ? questionna-t-il fĂ©brilement.â Comme ça. Quand quelquâun va pas bien faut bien faire quelque chose », lui sourit-elle en haussant les Ă©paules. Un ange de la mort, tout-puissant quâil pourrait ĂȘtre, ne saurait tenir tĂȘte Ă celui de lâinnocence. Autant tuer quâil puisse, ingĂ©nuitĂ© abattue ne peut quâĂȘtre Ă©ternelle. Lui porter atteinte, câest un blasphĂšme. L'agneau n'a besoin que d'ĂȘtre agneau pour que le loup se sente honteux Ă le dĂ©vorer, mĂȘme s'il est lĂ©gitime Ă le faire. Merci⊠lâaccepta-t-il et la mit autour de son propre cou. Tu dois ramener ce seau chez toi ?â Oui.â Câest loin ?â Un peu plus dâune heure.â Ăa fait lourd Ă porter. Tu veux que je le porte pour toi ? Je tâaccompagne. Ăa te dĂ©range pas ?â Ho oui ! Câest gentil ça ! » fit-elle se sentir honteux le sabreur.âââââââââââââââââââââââââââââââââââââââââChapitre IIILes jumellesLe soleil n'estompe pas toutes les nuits noires, au contraire, il peut les nourrir, parce que lui aussi, a son ombre ; le spectre du soleil est sa rage de luire, sa lumiĂšre est sa vengeance sur les tĂ©nĂšbres, il en brĂ»lerait tout ce quâil Ă©claire pour y parvenir. De lĂ , la naissance du mal dans l'insuffisance de la frustration ; celle dâun objectif inaccompli. Tous les dĂ©sirs inassouvis couvent le sentiment dâinjustice. Quâest-ce alors surprenant quâen injustice, lâantonyme justice rime avec vengeance, mĂȘme si les reprĂ©sailles les plus juste seront source de grands maux en ce quâelles oseront sacrifier pour s'obtenir ? Quelquefois, on subit tant depuis si longtemps, que quoi quâon chĂ©rit de tout son cĆur sentir, on ne sâen perçoit plus capable ; l'ĂȘtre devient lettre morte. Les connexions sont rompues et c'est l'instinct qui prĂ©domine. Les ĂȘtres humains poussĂ©s aux confins de ce quâils peuvent soutenir ne consultent, en dĂ©finitive plus que leur dĂ©sespoir, pour espĂ©rer sortir du dĂ©couragement. Au bas de ce trou, la pensĂ©e sâĂ©teint sous son propre reflet, et câest dans cet Ă©cho que se nourrit cette ambition dĂ©vorante la vengeance. Lorsque Kieyasu entendit derriĂšre elle le seau dâeau tomber et se vider, aussitĂŽt la vengeance fit dâelle son dommage collatĂ©ral sous la forme dâune arme gigantesque reposĂ©e sur son Ă©paule et dâune voix froide Sur la route, tu m'as dit que tu vivais avec ton pĂšre, ta mĂšre et ton oncle. Appelle-les, dis leur de sortir de la tente. Dis le calmement. »MalgrĂ© tout l'immense poids de Meisusukin sur elle, et dont elle sentit quâil ne fallait seulement quâelle soit lĂąchĂ©e pour ĂȘtre Ă©crasĂ©e, Kieyasu nâobĂ©it pas. Elle tourna un peu son visage, dĂ©visagea le sabreur si griĂšvement quâelle obligea en lui une culpabilitĂ© quâil dĂ©glutit sans faillir. Pourquoi ? dit-elle déçue, les larmes dans les yeux.â Ton pĂšre me doit quelque chose, ravala IsaĂŻe sa salive. Je viens le prendre.â Il vous le rendra. Je vous le promets. Pas besoin de...â Il ressuscite les morts ? ne la laissa-t-il pas terminer. Parce que ce sont deux vies quâil me doit. Ma femme et mon enfant. Ce que lâĂ©pĂ©e prend, lâĂ©pĂ©e le reprend petite. Il n'y a pas de lieu qui puisse servir d'asile contre la vengeance de l'honneur. MĂȘme pas ce foutu dĂ©sert. Fais ce que je te dis. Appelle-les. Maintenant », lui dĂ©crocha-t-il la mĂąchoire en lui apprenant une bien mĂȘme eĂ»t-elle Ă©tĂ© prĂȘte Ă le faire, et ce nâĂ©tait pas le cas, le hasard dĂ©cida quâil nây en eut pas lâutilitĂ©, car alors, la mĂšre de Kieyasu sortit de la tente et vit l'infĂąme en train de se tramer. Elle hurla immĂ©diatement les noms des deux autres pour quâils sortent aussi, puis PitiĂ© », ajouta-t-elle vers IsaĂŻe qui resta de marbre. Genzu et Kyochori ne tardĂšrent pas, car la panique sâĂ©tait entendue dans la voix de la kunoichi. Ă la vue de Genzu, certes que silencieusement, IsaĂŻe exulta. Enfin ! » rĂ©sumait le message de ses yeux, mais ce nâest pas ce quâil commenta. Le regard un instant portĂ© sur Kyochori Faut ĂȘtre sacrĂ©ment con pour porter le symbole de son clan sur son vĂȘtement, Yamanaka, dit-il.â Tâes de la coalition ? Tu traques les dĂ©serteurs ? sâinquiĂ©ta Genzu sur qui rĂ©sonnait dĂ©jĂ une forme de rĂ©signation.â Ce nâest pas au nom dâune faction Ă la con que je suis lĂ . Mais en mon propre nom.â Quâest-ce que tu veux si tu chasses pas le dĂ©serteur ?â Le 18 juillet de lâannĂ©e derniĂšre. Ă Hi no Kuni. Une femme et son bĂ©bĂ©, les fit-il tous comprendre.â Vous Ă©tiez proche ? craignit Kyochori la rĂ©ponse.â Ouais. C'Ă©tait ma femme. » Avant dâĂȘtre la proie de ses semblables, un homme est avant tout la proie de ses propres vĂ©ritĂ©s, parce que le rappel dâune honte impunie ordonne plus de honte Ă la conscience de celui dont la honte coupable est son premier supplice. Genzu avait tentĂ© sans succĂšs de faire taire sa honte en sâorganisant pour que soient rapatriĂ©s Ă Kiri les corps dâune femme et de son bĂ©bĂ©. Il y avait adjoint une lettre exprimant ses remords, et oĂč il avait eu lâimprudence de signer de son nom. DestinĂ©e juste Ă la famille en espĂ©rant que le village militaire face le reste, il ignorait Ă qui il l'avait envoyĂ©. Pour son malheur, cela avait Ă©tĂ© IsaĂŻe. Et Ă lâesprit dâIsaĂŻe, cela nâavait Ă©tĂ© que des mots. Les bons sentiments sont vains si aucun acte ne leur donne corps. Les mots sont des choses faciles. Cette fois, face Ă la vengeance en devenir personnifiĂ©e en un Shinobi consumĂ© par la rancune, il prĂ©sageait que son mal atteindrait bientĂŽt son point le plus culminant. Ma fille est innocente, dit-il nĂ©anmoins. â Mon bĂ©bĂ© lâĂ©tait aussi. Mais tu as raison. Une vie pour une vie. Tu veux quâelle vive ? Choisis. Donne ta vie. Et jâĂ©pargne la sienne.â Tu me le promets ?â Je nâai quâune parole.â Comment je peux ĂȘtre sĂ»r ?â Tu peux pas.â La cruautĂ© est un remĂšde qui aggrave ses propres blessures sabreur », tenta de le faire changer dâavis Kyochori pour ne recevoir quâun de Genzu devant lâimplacable regard dâIsaĂŻe galvanisa un autre instinct, celui-ci plus puissant que tout autre en ce monde. Les souffrances de la femme sont mĂȘlĂ©es d'amour-propre, mais celles de la mĂšre ne sont que de l'amour meurtri ; son enfant est son espĂ©rance, son inconditionnelle patrie. Une mĂšre c'est l'ange vigilant, il plane doux et bienfaisant sur l'enfance, chasse aux alentours les mauvaises influences qui la menacent, et pose une main blanche sous les pieds roses de son enfant. Que y'avait-il donc d'Ă©tonnant Ă ce que cette mĂšre, prĂ©sentement, s'Ă©lance d'un bon en criant Moi ! Prends-moi ! ». Trois mĂštres sur cinq parcouru vers sa fille auront suffi. IsaĂŻe, lui, n'hĂ©sita pas, tint parole, une vie, pour une vie. Deux couteaux lancĂ©s, lâun dans une gorge, lâautre dans un front, furent le gage de sa promesse. Le cadavre nâavait pas touchĂ© le sol quâil bondit ensuite sur Genzu et frappa en chargeant dans Meisusukin sa fureur. LâAburame nâavait eu que le temps de dire Non ! », mais il esquiva nĂ©anmoins de justesse le coup et derriĂšre, Kieyasu tomba sur ses genoux. Ce quâelle venait voir lui avait tranchĂ© dâun trait les jambes et la voix. Le sabreur tenta immĂ©diatement une seconde frappe qui nâaboutit pas Ă mieux. Recule Genzu ! » hurla Kyochori pour que son ami fasse ce qu'il n'avait pas attendu de faire, car lĂ , lorsque IsaĂŻe fut isolĂ©, il cracha un ocĂ©an de flammes sur lui. Le sabreur fit de la largeur de son arme un bouclier et disparut dans le feu. Kieyasu terrifiĂ©e par la scĂšne retrouva sa voix ArrĂȘtez ! ArrĂȘtez ! » quâelle supplia sans ĂȘtre exaucĂ©e. La tente sâenflamma derriĂšre et les grognements dâIsaĂŻe firent croire Ă chacun que câĂ©tait dĂ©jĂ gagnĂ©. Et quel supplice ! Si peu de choses comparĂ©es aux vĂ©ritables souffrances. Comme l'amour, l'affliction pĂ©nĂštre toujours plus avant dans le cĆur. Au milieu des tourments la douleur est immense, pour qui vit seul et souffre en silence. AprĂšs une grande douleur, rien ne nous Ă©tonne plus, si ce n'est de l'avoir supportĂ©e Quelle horreur. Jâai rouillĂ©. Jâavais oubliĂ©. Mais ce mal est diffĂ©rent, il est diffĂ©rent dâavant. Cette douleur sur ma chair, elle endort lâautre qui se cache en dessous. En fait, câest apaisant. Plus mon corps a mal, moins mon Ăąme crie. Oui, câest apaisant. He he... Si jâavais su ça avant », pensait IsaĂŻe en brĂ»lant. Le jet de flamme cessa, et câest un homme debout, au corps fumant, la peau des bras et des Ă©paules roussies par la chaleur qui leur apparut. On a du bol quâil ne soit pas aussi bon que ça, commenta Kyochori.â Il est toujours debout, elle est endurante la tĂȘte d'ange,... sâĂ©tonna malgrĂ© tout Genzu.â Tâes pas le premier Ă me cracher du feu dessus, resta fiĂšre IsaĂŻe entre ses halĂštements.â Du moment que je suis le dernier.â Crois-moi, je n'aurai pas demandĂ© mieux que de te donner ma vie. Je comprends ta douleur. Elle est lĂ©gitime. Et je suis dĂ©jĂ un peu mort. Mais maintenant que tu as tuĂ© ma femme, je ne peux pas. Je ne peux pas laisser ma fille seule, promit Genzu en faisant un mudra. Je suis obligĂ© de te tuer. Tout ça, tu sais, câest la guerre. Nous sommes shinobi. Toi durant ta carriĂšre, tu nâas jamais tuĂ© de parents ? Si nous nous battons pour savoir qui est innocent ou lĂ©gitime, je crains que nous soyons tous dĂ©jĂ perdus. Mais, peu importe, je ne peux juste pas abandonner ma fille parce que nous sommes coupables tous les deux. MĂȘme si je souffre, pour ma fille, je dois faire face Ă ma souffrance. La haine, tu vois... est le refuge de ceux qui ne supportent pas de faire face Ă leur souffrance.â Genzu⊠se dĂ©sola Kyorochiâ Moi jâai plus rien Ă protĂ©ger. Tu mâas tout pris. Je suis seul. Je n'ai plus que ça. Ma souffrance. Jâai plus rien Ă perdre. Alors quitte Ă crever, je te ferais crever avec moi.â Non, pas tout. Je nâai pris que ta femme.â Quâest-ce tu dis ?â Quand on a attaquĂ© la caravane, elle sâest couchĂ©e sur votre bĂ©bĂ© pour le protĂ©ger de mes insectes. Je ne savais pas quâil Ă©tait lĂ . Ce ne sont pas mes bĂȘtes qui lâont tuĂ©. Câest lâamour de ta femme. Elle a dĂ» l'Ă©touffer sans s'en rendre compte. Je lâai aidĂ©e. Je ne le nie pas. Oui, câest un peu de ma faute aussi. Et de ceux qui nous commandaient. Et de ce monde fou. Tout ça me dĂ©truit. Mais elle l'est aussi. Elle est aussi responsable que moi. Si elle n'avait pas Ă©touffĂ© ses cris, j'aurais stoppĂ© ma technique. Je n'aurai pas pu tuer un bĂ©bĂ©.â Te fous pas de moi ! »La colĂšre n'est point qu'une courte fureur, câest la parente dâune longue folie. Un cri de rage retentit, mais les insectes de Genzu volĂšrent sur IsaĂŻe pour le dĂ©vorer. Son arme en bouclier ne pouvait cette fois le protĂ©ger. Son dos, le sommet de sa tĂȘte, ses bras, le bas de jambes Ă©taient envahis de bestioles qui le dĂ©chiquetaient maintenant lentement. Et lui, il serrait les dents. Sa pensĂ©e filait dans la tempĂȘte. BloquĂ©, il prit la seule dĂ©cision qui lui sembla sensĂ©e. Ă la stupĂ©faction de tous, il sauta dans la tente enflammĂ©e. Un hurlement Ă dĂ©chirer le vent suivit, celui dâun homme en furie, mais Ă©galement le craquement de centaines dâinsectes engloutis par le brasier. Câest alors que pendant un instant⊠Pendant un instant, aux yeux de Kieyasu, de son pĂšre et de Kyorochi, la silhouette de cet homme vacillant dans le cĆur des flammes est apparue comme celle dâun monstre terrifiant... VoilĂ , lorsque les jumelles culpabilitĂ© et vengeance entraient en collision parce que l'absurditĂ© les y poussait, voilĂ , quelque soit l'issue de cet affrontement, ce que veut dire propos du joueurOrigine de votre avatar Griffith de lâĆuvre Berserk de Kentaro MiuraIndiquez votre parrain, si vous en avez un seulement pour le premier compteEst-ce un changement de personnage ? Oui, mon ancien personnage s'appelait Sad. J'ai retrouvĂ© le lien iciEst-ce un double compte ? NonQuelque-chose Ă ajouter ? Non DerniĂšre Ă©dition par IsaĂŻe le Ven 26 AoĂ» 2022 - 1857, Ă©ditĂ© 118 fois Yuki MisakiVen 19 AoĂ» 2022 - 1308 Bonjour et re-bienvenue sur le forum,Je transmet Ă l'Ă©quipe technique ton sabre pour la validation de ce te plait indiquer de qui es-tu le et au ThĂšme ~ Yuki MisakiVen 19 AoĂ» 2022 - 1325 Hellow !Nous revenons d'ores et dĂ©jĂ vers toi ce fut rapide haha.Dans l'Ă©tat actuel de la description de ton sabre, il faudrait l'Ă©toffer. Accorder plus de dĂ©tail sur les tenants et les aboutissants du pouvoir que tu souhaites pour ton arme, car avec la description actuel, il s'agit lĂ de quelque chose qui pourrait sans doute ĂȘtre fait par le biais de la Branche discute aussi de si un macuahuitl hors proportion n'est pas plutĂŽt une arme gladiateur. Nous reviendrons vers toi dĂšs que possible soit par MP ou par Discord si entre-temps tu le plaisir_________________~ ThĂšme ~ IsaĂŻeVen 19 AoĂ» 2022 - 1336 Bonjour. Merci de cette vais Ă©toffer ça. Il se trouve que j'avais d'abord songĂ© Ă gladiateur avec cette CS et cette arme, mais j'avais prĂ©sumĂ© apparemment Ă tort que vous alliez considĂ©rer cette arme comme un sabre oĂč une Ă©pĂ©e. C'est autant tranchant que contendant il faut dire. Du coup passer gladiateur ne me dĂ©range pas du le pouvoir je trouvais qu'ĂȘtre capable d'ignorer les blessures Ă©tait dĂ©jĂ puissant. Si je rajoute que la furie permet des boost physique façon porte cĂ©leste cela vous conviendrait-il ? Yuki MisakiVen 19 AoĂ» 2022 - 1510 Bonjour,Il faudrait plus de dĂ©tail et il faudrait que ça soit inscrit directement dans ton message de prĂ©sentation par le biais d'un EDIT. On souhaite te donner le conseil suivant "Il vaut mieux mettre trop de dĂ©tail que pas assez, l'Ă©quipe technique se chargera de rĂ©duire par la suite"Si je peux aussi t'inviter Ă te joindre au discord, ça faciliterais sans doute la communication, car passer par des rĂ©ponses sur ta prĂ©sentation n'est peut-ĂȘtre pas le moyen le plus adaptĂ© hahaAu plaisir !_________________~ ThĂšme ~ IsaĂŻeSam 20 AoĂ» 2022 - 1335 Bonjour, j'ai Ă©ditĂ© le pouvoir pour le prĂ©ciser et j'ai tĂ©lĂ©charger discord. Je rĂ©itĂšre l'Ă©dition ici Pouvoir Furie â Les blessures subies contraignent des renforcements physiologiques au combattant. Force, vitesse et endurance sont amĂ©liorĂ©es par des dĂ©charges d'adrĂ©naline, d'endorphine et autres altĂ©rations psychiques. Plus les blessures subies sont importantes, plus les boost le sont, plus l'esprit du combattant sombre dans la furie. Il passe progressivement de la colĂšre Ă la folie meurtriĂšre. Au seuil de la mort, le combattant est surhumain, mais n'aura de cesse de lutter jusqu'Ă le franchir. IsaĂŻeMar 23 AoĂ» 2022 - 2353 Bonjour. La prĂ©sentation est terminĂ©e. IsaĂŻe
Tedire merci Merci pour ton amour Et tout ce que tu m'apprit Tous ce temps passé avec toi Toujours le sourire Tu m'redonnes la joie J'admire tout chez toi Ton sens de courage Tu m'as
Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Stand With Ukraine! Artiste Creed Chanson My Sacrifice âąAlbum Weathered Traductions français â traduction en françaisfrançais/anglais A A Mon sacrifice Bonjour mon amie, nous nous rencontrons Ă nouveau Ăa faisait longtemps, par oĂč devrions-nous commencer...j'ai l'impression que ça fait une Ă©ternitĂ© Il y a dans mon coeur le souvenir de l'amour parfait que tu m'as donnĂ© Oh, je me souviensLorsque tu es avec moi Je suis libre...je n'ai pas de soucis...je crois Nous volerons plus haut que tous les autres Et ça me fait monter les larmes aux yeux Mon sacrificeNous avons eu notre lot de hauts et de bas Oh, la vie peut changer si rapidement...en un instant C'est si bon d'ĂȘtre rĂ©uni avec soi-mĂȘme et dans son esprit Trouvons la paix en cet endroitLorsque tu es avec moi Je suis libre...je n'ai pas de soucis...je crois Nous volerons plus haut que tous les autres Et ça me fait monter les larmes aux yeux Mon sacrificeJe veux seulement te dire bonjour une autre fois Je veux seulement te dire bonjour une autre foisLorsque tu es avec moi Je suis libre...je n'ai pas de soucis...je crois Nous volerons plus haut que tous les autres Et ça me fait monter les larmes aux yeux Lorsque tu es avec moi Je suis libre...je n'ai pas de soucis...je crois Nous volerons plus haut que tous les autres Et ça me fait monter les larmes aux yeux Mon sacrifice Mon sacrificeJe veux seulement te dire bonjour une autre fois Je veux seulement te dire bonjour une autre fois My Sacrifice â Ajouter une nouvelle traduction Ajouter une nouvelle demande Traductions de My Sacrifice » Collections avec My Sacrifice » Music Tales Read about music throughout history
Modifierles paroles. Paroles de Comment te dire - JEM 852 par Bryan Ost. Comment te dire merci, Comment ne pas t'abandonner ma vie? Alléluia, alléluia. Comment t'aimer, te louer, Faire de ce jour que nous as donné Un alléluia, un alléluia, un alléluia? Quand je vois la beauté d'un coucher de soleil, Un art si raffiné me révÚle tes
Paroles de la chanson Je voulais te dire je tâaime par Michelet Innocent Je voulais te dire je t'aime Avec toi je n'ai plus envie de rien Car sans toi je ne suis plus rien PrĂšs de toi je ne vis que pour toi Je t'aime si fort mon amour Merci de m'avoir montrĂ© Ce que c'est vraiment aime Reviens vite je veux me caler dans tes bras T'embrasser m'endormir tout contre toi J'ai besoin de te dire que je t'aime Je remercie le ciel de t'avoir sur mon chemin Tu es ma raison de vivre Je voulais te dire que je t'aime Je voudrais que tu t'en souviennes Aussi longtemps que je vivrai Tu'es mon rayon de soleil Jusqu'Ă la fin de mes jours Ton sourire, ton parfum et ta voix⊠GrĂące Ă toi je ressent le meilleur de moi Etre heureux c'est le sourire et le bonheur de vivre Merci de m'avoir montrĂ© ce que c'est vraiment aimĂ© Tu es ma raison de vivre Je voulais te dire que je t'aime Je voudrais que tu t'en souviennes Aussi longtemps que je vivrai Tu'es mon rayon de soleil Jusqu'Ă la fin de mes jours
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Et cela se voyait. Et dans son habitude et dans ses paroles. Elle Ă©tait impatiente, ça c'est sĂ»re, mais là ça devenait grave, elle en avait marre. Ayant marre de la situation qui se prĂ©sentait, elle quitta son vĂ©hicule fermant la porte,mais prenant son sac avant de partir. Pourtant elle aurait pu appeler un de ses amis qui l'aurait sĂ»rement aider Ă sortir de cette galĂšre, mais chercher son tĂ©lĂ©phone portable qui Ă©tait perdu au fond de son sac, Ă©tait une Ă©preuve fatiguante pour la jeune femme qui avait passĂ© une dure journĂ©e. Alors ne serais-ce le fait de chercher une chose, Ă©tait difficile pour elle, alors marcher jusqu'Ă son domicile, ça l'Ă©tait encore plus ! Errant dans les rues de Sydney, elle glissa lentement ses mains gelĂ©es dans ses poches remplies d'un tas de choses. Alors que ses pas s'accĂ©lĂšrent , ses paumettes devĂźnt alors rapidement rose. Il faisait froid, le temps changeait de jour en jour. Tandis que les feuilles continuaient de tomber rapidement, l'hiver arrivait Ă grand pas. AJ dĂ©ambula donc dans les rues, ses cheveux voletaient lĂ©gĂšrement dans le vent. Ses yeux contemplaient avec envie toutes ses vitrines ou Ă©taient exposĂ©es de nombreux vĂȘtements qu'elle brĂ»lait d'envie d'acheter. Elle se mordilla la lĂšvres infĂ©rieure tandis que ses yeux parcouraient les tenues exposĂ©es sur des mannequins en cire. C'Ă©tait fort tentant, heureusement â ou plutĂŽt dommage â pour elle que les magasins Ă©taient fermĂ©s depuis longtemps Ă cette heure-ci. LĂąchant prise, elle continua son chemin marchant de plus en plus rapidement. Il faisait dĂ©jĂ nuit et les rues Ă©taient quasiment vides. Ont pouvait y voir, quelques personnes en dessous d'un tunnel, un ou deux couple assis sur un banc et quelques personnes sortant des restaurants. Pour faciliter son chemin mais, pour arriver plus vite Ă son domicile, elle se dirigea vers une petite ruelle, qu'elle avait l'habitude d'emprunter. A vrai dire, c'Ă©tait la premiĂšre fois depuis son retour qu'elle prenait ce chemin et, elle remarqua que ça avait bien changĂ© depuis. C'est en arrivant au bout de cette petite rue, qu'elle tomba nez Ă nez, avec une personne dont elle n'avait plus l'habitude de croiser. Une personne avec qui elle avait perdu contact et avec qui elle essayait de renouer les liens. Elle dĂ©glutit. Ses yeux parcoururent chaque parcelle de son visage, chaque contour Ă©tait minutieusement scrutĂ© par les yeux perçants de la jeune femme. Elle se serait crĂ» dans un rĂȘve et pourtant, il s'agissait bien de la rĂ©alitĂ©. En cette froide soirĂ©e, jamais elle n'aurait pu imaginer croiser Jake. Ou bien si, mais c'Ă©tait si rare qu'elle tombe nez-Ă -nez avec lui. Cela lui faisait quelque peu bizarre. Elle ne savait pas si elle devait rire ou pleurer, sourire ou non, le regarder ou dĂ©tourner ses yeux. Tout se bousculait dans sa tĂȘte. oh.. salut .. Jake ». dit-elle timidement. C'Ă©tait difficile d'Ă©changer des mots avec une personne qu'on avait trahie, pire qu'on avait abandonnĂ©. Il fallait bien l'avouer, Jake comptait Ă©normĂ©ment pour Ally-Jane, jamais elle n'aurait pu continuer son chemin sans parler Ă l'homme, qui avait pendant des annĂ©es, partagĂ© son cĆur. Je suis surprise de te croiser dans la rue .. MĂȘme si c'est tout Ă fait normal. Bref, dĂ©solĂ© de te retenir .. » Sur le coup, elle parlait trop pour rien dire. Elle aurait voulut se faire toute petite et disparaĂźtre avant de passer pour n'importe quoi. DerniĂšre Ă©dition par Ally-Jane Cartwright le Mer 29 DĂ©c - 1804, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re LIFE IS ONLY MADE OF MEMORIES âą Jake. Lun 15 Nov - 028 change the colors of the devait ĂȘtre vingt heures et des poussiĂšres lorsque Jake avait quittĂ© son poste au commissariat. PlutĂŽt tĂŽt comparĂ© Ă ses habitudes du Lundi soir mais aujourdâhui, câĂ©tait simple et direct son chef lui avait ordonnĂ© de rentrer chez lui. Non pas quâil ne voulait pas de lui - quoi que - non câĂ©tait plutĂŽt une maniĂšre de montrer Ă Jake quâil sentait que quelque chose nâallait pas ces derniers temps. A vrai dire, câĂ©tait vrai, depuis que Jake avait apprit pour son cancer, il prenait souvent des aprĂšs-midis au boulot pour ses rendez-vous mĂ©dicaux⊠JusquâĂ aujourdâhui, dâailleurs, il nâavait pas encore prit la peine de prĂ©venir son chef de sa maladie ; elle lui coĂ»terait sa place dans la police et ça, câest quâil voulait Ă tout prix Ă©viter. Son travail Ă©tait ce qui lui Ă©tait de plus cher depuis trĂšs longtemps maintenant, depuis la mort de ses parents et ce nâest pas maintenant et ce nâest pas Ă cause dâune maladie quâil arrĂȘterait son travail et ce malgrĂ© les suspicions de son voilĂ alors dans la rue, marchant en direction de son appartement. Il avait pour habitude de venir au travail en voiture mais ce matin, il avait sentit une nausĂ©e Ă©trange et manqua de faire un sacrĂ© malaise, du coup, tĂȘtu comme il est, il avait tout de mĂȘme dĂ©cidĂ© dâaller travailler mĂȘme sâil devait marcher dans le froid Ă coup, il Ă©tait vingt heures et il marchait seul pour rentrer chez lui. Les nuits se faisaient plus fraĂźches quâhabituellement Ă Sydney ces derniers qui connaissait Sydney comme sa poche sâĂ©tait alors engagĂ© dans de longues ruelles interminables oĂč dâailleurs, les femmes ne sâaventuraient pas souvent vers ces heures-ci oĂč la nuit commençait Ă parlant de jeune femme, il vit une silhouette plus loin marchant en sa direction, il nây prĂȘta pas plus attention que ça et continua de marcher puis plus cette silhouette sâapprochait plus il remarquait que cette silhouette, il la connaissait trĂšs Ă deux mĂštres de lâindividu, il lâa reconnu trĂšs facilement. Ally-Jane, son ex-petite amie, celle qui avait, il y a longtemps, su lui apprendre Ă aimer et Ă le montrer, celle qui avait Ă©tĂ© une meilleure amie aussi, quâil connaissait depuis son plus jeune Ăąge. Ally, la pauvre semblait frigorifiĂ© dans le froid glacial de la nuit. Ses joues Ă©taient rosĂ©es et elle semblait marcher dâun pas rapide certainement pour fuir le froid. Ce nâest que lorsquâelle se retrouva face Ă lui que ses pas ralentirent, autant pour elle que pour lui dâailleurs. Ils ne pouvaient pas sâĂ©viter, la ruelle Ă©tait Ă©troite et ne laissait place quâĂ deux personnes lâune Ă cĂŽtĂ© de lâautre dâ elle qui parla la premiĂšre et elle semblait ĂȘtre incertaine de sa phrase dâailleurs, enfin de ses mots plutĂŽt. Jake ne put sâempĂȘcher dâesquisser un sourire qui sembla plus sarcastique quâautre chose face Ă Ally-Jane. Il rĂ©pondit Ă son tour dans un ton beaucoup plus Ă©levĂ© et certain quâelle Bonsoir Ally. »Il hocha la tĂȘte puis se disait quâil devrait vraiment rentrer chez lui Ă prĂ©sent plutĂŽt que de perdre son temps Ă discuter avec Ally-Jane en plein milieu de la rue aprĂšs ce quâelle avait fait au centre commercial Ă Tallulah et Ă entreprit son premier pas mais Ally poursuivit lâarrĂȘtant aussitĂŽt. De quoi ? Jake fronça les sourcils sans vraiment comprendre oĂč elle voulait en venir. Puis, la connaissant trĂšs bien, il comprit aussitĂŽt combien elle Ă©tait mal Ă lâaise Ă lâheure actuelle, face Ă soupira puis lui dit dâun ton las Ecoute Ally, je nâai pas vraiment le temps de me prendre la tĂȘte avec toi aujourdâhui, jâai dĂ©jĂ assez de soucis comme ça. »Assez de soucis insinuant sa maladie, les problĂšmes quâil a eut tout rĂ©cemment tant avec Tallulah quâavec sa sĆur, Chelsea et bien sĂ»r, Tallulah qui Ă©tait Ă prĂ©sent la regardait toujours fixement alors quâelle semblait Ă prĂ©sent encore plus mal Ă lâaise Ă la rĂ©ponse de Jake, voir presque triste quâil lui rĂ©ponde aussi & Ally se connaissent depuis trĂšs longtemps et Ă un tel point que Jake lit en elle comme dans un livre ouvert et ce malgrĂ© toutes les annĂ©es de sĂ©paration ou encore le fait quâil nâait pas devinĂ© que la raison de son dĂ©part avait Ă©tĂ© parce quâelle Ă©tait Jake lui en veut encore de ce dĂ©part ou cet abandon tout dĂ©pends de comment on voit les choses, elle lâavait laissĂ© tomber comme sâil ne comptait pas⊠autant pour elle que pour lâenfant qui grandissait dans son la peine qui se dessinait clairement sur les traits fins dâAlly-Jane, Jake nâallait pas tomber dans le piĂšge » - comme il le dirait - il y est tombĂ© une fois et elle a finit par lui balancer la vĂ©ritĂ© en pleine figure Ă lui et Ă Tallulah. Et malgrĂ© toutes les fois oĂč il y Ă©tait tombĂ© lorsquâils Ă©taient tout deux plus jeune cette fois-ci, il ne voulait pas parce quâil nâavait pas envie de se disputer une nouvelle fois avec elle, il avait encore moins envie de parler du passĂ© et de combien il aurait aimĂ© rencontrer son fils ; ce quâil voulait maintenant, câĂ©tait un lit bien chaud oĂč il pourrait se reposer aprĂšs une journĂ©e de travail fatigante et ce sentiment Ă©trange qui le rongeait depuis la la regarda quelques secondes puis se remit Ă marcher lentement pour passer Ă cĂŽtĂ© dâelle et sâen aller. Si elle le retiendrai ? Jake nâen doutait pas vraiment, mais il espĂ©rait quâelle le laisse filer et quâils en rediscutent plus tard, au calme certainement⊠Non, elle nâallait pas le laisser filer, maintenant quâune main sâĂ©tait posĂ©e Ă son torse pour lâarrĂȘter, il en Ă©tait sĂ»r. La soirĂ©e sâannonçait dĂ©jĂ pleines de rĂ©vĂ©lations⊠ou Ă©dition par Jake A. Daniels le Sam 12 Mar - 1857, Ă©ditĂ© 2 fois Jackie-Lyz Becker âź messages 289 âź date d'inscription 08/11/2010 âź occupation uc âź envie uc âź copyrights uc âź pseudo Chicken Re LIFE IS ONLY MADE OF MEMORIES âą Jake. Sam 15 Jan - 1546 Jake & Ally-JaneIl faisait de plus en plus froid. Le ciel devenait devenait de plus en plus sombre. Ally marchait de plus en plus vite. Elle n'aimait pas ĂȘtre seule dans les rues de New York, le soir. Elle avait dĂ©jĂ eu pas mal de problĂšmes, des types qui puaient l'alcool venaient lui parler et la retenait souvent. Alors oui, ses pas s'accĂ©lĂ©raient sous le vent glacial. Elle enfuyait ses mains au plus profond de ses poches de son manteau, afin de ne pas subir le froid. D'ailleurs, elle se demandait encore pourquoi elle Ă©tait repartis Ă pieds et n'avait pas pris le taxi ou le bus. Elle se sentit complĂštement dĂ©bile sur le moment. Sauf que peut-ĂȘtre, cette soirĂ©e l'aiderais Ă ĂȘtre mieux en elle, puisqu'une rencontre Ă©trange allait se dĂ©rouler. Etrange ? Pas tout Ă fait, mais elle n'avait plus du tout l'habitude de croiser cette personne, de la regarder, de lui parler et encore moins de lui sourire. Alors oui, peut-ĂȘtre que ça arrangerait les choses, peut-ĂȘtre allait-elle les empirer. Il faut dire, que Jake Ă©tait difficile lui aussi. Il Ă©tait alors impossible de faire demi-tour, puisqu'ils Ă©taient maintenant face Ă face. Et puis, elle n'avait pas envie de fuir, elle 'avait fait une fois et elle ne recommencerait plus. Elle savait trĂšs bien que Jake ne lui pardonnerait jamais, que rien ne serait plus comme avant. Mais ce qu'elle voulait c'Ă©tait juste s'expliquer avec lui, rien de plus qu'arranger les choses pour que tout soit finis. MĂȘme si cette histoire restera inoubliable pour l'un que pour l'autre. Bonsoir Ally. » Ok, au moins il lui avait rĂ©pondu et ne l'avait pas ignorĂ© comme il l'avait dĂ©jĂ fait. Elle se sentait mal Ă l'aise devant lui et c'Ă©tait tout Ă fait normal, mais ça lui faisait bizarre de savoir qu'elle avait fait n'importe quoi, oui, elle s'en voulait et s'en voudra toujours. AprĂšs ces quelques paroles, elle avait enchainĂ© en disant n'importe quoi, elle ne pouvait pas rester devant lui sans lui dire mais elle ne pouvait pas continuer son chemin, alors la seule chose qu'elle avait trouvĂ© c'Ă©tait de lui dire de la merde. Ecoute Ally, je nâai pas vraiment le temps de me prendre la tĂȘte avec toi aujourdâhui, jâai dĂ©jĂ assez de soucis comme ça. » Effectivement, elle lui avait dit n'importe quoi. AprĂšs la rĂ©ponse de Jake, elle se tu. En faite, elle Ă©tait peinĂ©e de voir que Jake pensait qu'ils se prendraient encore une fois la tĂȘte. Alors que non, Ally n'en avait pas envie, elle en avait marre de passĂ© pour une mauvaise, mĂȘme si elle l'Ă©tait quand mĂȘme, aux yeux de Jake et de beaucoup d'autres qu'il voulait continuer son chemin, Ally-Jane ne pouvait pas le laisser faire. Et puis, il fallait bien un jour que tout Ă©clate, parce que jusqu'aujourd'hui, elle n'avait jamais eu l'occasion de s'expliquer clairement et de dire ce qu'elle ressentait vraiment. Alors elle le ferait, que ça plaise Ă Jake ou non, il serait bien obliger de l'Ă©couter parler. Elle posa alors sa main sur le torse du jeune homme, qui n'avait rien demandĂ© de tout ça. Elle le poussa lĂ©gĂšrement pour qu'ils se retrouvent face Ă face et elle le regarda droit dans les yeux, comme si c'Ă©tait les derniĂšres paroles qu'elle pourrait dire. Alors Ă©coute moi, je ne te demanderais rien d'autre. Parce que tu sais, moi aussi j'en ai marre de me prendre la tĂȘte avec toi mais tu sais, j'ai plus envie de crier,de m'Ă©nerver ou de pleurer. Je te demande pas de me pardonner, ni d'oublier. Je veux juste qu'on arrĂȘte tout ça. Parce que j'en ai marre, je me rĂ©pĂšte et finalement, ça mĂšne Ă rien. Les erreurs que j'ai faites, sont faites je ne peux pas revenir en arriĂšre, c'est tout. Et si par le plus grand des hasard t'aimerait savoir comment je vais, la rĂ©ponse serait mal, trĂšs mal. Oui, car on dirait que tu ne t'en rend pas compte, que moi aussi je souffre, sĂ»rement bien plus que toi, Jake. Parce que on est deux Ă se dĂ©truire, j'ai un coeur je suis humaine aussi, moi aussi j'ai mal et moi aussi je suis en colĂšre. Alors voilĂ , il fallait que tu saches que j'en avait marre de m'excuser tout les jours pour finalement avoir ton ignorance. C'est pas ce que je voulait et tu le sais. » Ok, elle Ă©tait peut-ĂȘtre aller trop loin, mais il fallait que ça sorte, elle aussi avait mal, chaque jour un peu plus et il n'arrangeait rien en l'ignorant. Il fallait qu'il l'aide et Ally devait l'aider aussi, mais comment ? C'Ă©tait impossible tout ça. Sans lĂącher son regard, elle finit par lui dire. DĂ©solĂ© de t'avoir retenu, mais ça devait sortir. Tu peux maintenant m'insulter, m'ignorer ou tout ce que tu veux Jake, moi je lĂąche l'affaire. ». InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re LIFE IS ONLY MADE OF MEMORIES âą Jake. Mer 19 Jan - 2129
Patachou Les paroles de la chanson « Je veux te dire adieu » ; Le texte; Les paroles de chanson. Chercher | alpha : P | artiste : Patachou | titre : Je veux te dire adieu | Les paroles de la chanson « Je veux te dire adieu » Patachou. Et puisque dâautres mains sur ton corps impudique Sont venues prendre place oĂč mes doigts ont couru Et puisquâun autre coeur donne au tien
eCe6ltH. 362 151 46 306 499 176 79 141 403
je veux seulement te dire merci paroles